TAGORE, Rabindranath - L'Offrande lyrique (XV à XXI).
- il y a 11 ans
Poèmes XV - XXI
http://fr.wikisource.org/wiki/Page:Tagore_-_L%E2%80%99Offrande_lyrique.djvu/64
(pages 64 à 71)
Cette lecture de sept poèmes de Gitanjali
se veut une offertoire,
une invitation à entendre Tagore, ‘Le Poète’,
comme il est affectueusement dénommé en Inde.
Un moment de douce harmonie.
D’humilité.
La publication en 1912 de Gitanjali
(Song Offerings, L'Offrande Lyrique) rend Tagore célèbre.
Il reçoit le Prix Nobel de littérature en 1913.
XV – Je suis ici pour te chanter des chansons
XVI – J’ai reçu mon invitation pour le festival de ce monde
XVII – J’attends seulement l’amour
XVIII – Les nuages s’entassent sur les nuages
XIX – Si tu ne parles pas
XX – Le jour que la fleur de lotus s’ouvrit
XXI – Est-il temps de lancer ma barque ?
GITANJALI
‘Song Offerings’ fut écrit en anglais par Tagore.
http://en.wikisource.org/wiki/Gitanjali
Cette œuvre a été traduite en français par André Gide.
"Il m'a paru qu'aucune pensée de nos jours ne méritait plus de respect, j'allais dire de dévotion, que celle de Tagore et j'ai pris mon plaisir à me faire humble devant lui, comme lui-même pour chanter devant Dieu s'était fait humble."
http://fr.wikisource.org/wiki/Page:Tagore_-_L%E2%80%99Offrande_lyrique.djvu/64
(pages 64 à 71)
Cette lecture de sept poèmes de Gitanjali
se veut une offertoire,
une invitation à entendre Tagore, ‘Le Poète’,
comme il est affectueusement dénommé en Inde.
Un moment de douce harmonie.
D’humilité.
La publication en 1912 de Gitanjali
(Song Offerings, L'Offrande Lyrique) rend Tagore célèbre.
Il reçoit le Prix Nobel de littérature en 1913.
XV – Je suis ici pour te chanter des chansons
XVI – J’ai reçu mon invitation pour le festival de ce monde
XVII – J’attends seulement l’amour
XVIII – Les nuages s’entassent sur les nuages
XIX – Si tu ne parles pas
XX – Le jour que la fleur de lotus s’ouvrit
XXI – Est-il temps de lancer ma barque ?
GITANJALI
‘Song Offerings’ fut écrit en anglais par Tagore.
http://en.wikisource.org/wiki/Gitanjali
Cette œuvre a été traduite en français par André Gide.
"Il m'a paru qu'aucune pensée de nos jours ne méritait plus de respect, j'allais dire de dévotion, que celle de Tagore et j'ai pris mon plaisir à me faire humble devant lui, comme lui-même pour chanter devant Dieu s'était fait humble."