Une fratrie cassée

Madame Amal Ramadan, se rend aujourd’hui dans un point rencontre afin de voir sa fille que l’administration sociale lui autorise à voir une fois tous les deux mois.
L’originalité de cette affaire, c’est que les trois frères et sœur de la petite Mouna vivent dorénavant avec leur mère.

On ne comprend toujours pas pourquoi Mouna est mise à l’écart de la fratrie, on ne comprend pas non plus pourquoi les visite autorisées sont aussi rares !
Cet exemple montre, une fois de plus comment le système français casse littéralement des familles sans que cela soit réellement justifié.