Power Rangers Humble Piano Tribute
- il y a 15 ans
Blablabla page facebook http://www.facebook.com/leblogahercouette blablabla licornes blablabla filles et http://www.sodomyth.com parce que Zordon le veut.
Il y a deux écoles: celle qui croit tout connaitre des "années 90" en criant "Force Rouge !" lorsqu'elle parle de Power Rangers, et celle qui sait que Jason n'avait pas autant la classe que Billy. Choisis ton camp, camarade.
A part ça, je suis un boulet d'envergure exponentiellement exagérée, je me suis planté de mini-DV ce week-end et ai un peu bousillé la séance toi-aussi-fais-des-bétises-sur-un-piano-à-queue en filmant par dessus. Voilà pourquoi ce petit interlude, pas très classe, mais qui fait du bien, et qui est accessoirement pour moi un morceau de la victoire puisque j'ai fini l'année comme je voulais et je suis pris là où je veux. Donc, si tu es à Rennes et que tu veux me payer un verre, tu n'as exactement plus que moins de soixante jours pour le faire, après quoi je déserte ! Temporairement, bien sûr.
Ces considérations futiles mises à jour, j'avoue que je ne saurais trop quoi vous annoncer de plus que la dernière fois. Donc, revenons aux Power Rangers, dont seul le néophyte est persuadé que la profondeur scénaristique est l'exact opposé de Watchmen. Power Rangers, c'est très profond. C'est l'acceptation de l'autre à travers la catharsis du modèle, du héros, de l'espoir qui transparait là où le monde se voit tiraillé par des monstres vils et infantiles. Et en plus, il y a des robots dinosaures. Sans rire, il faudrait ne jamais avoir eu d'enfance pour ne pas avoir scotché au moins une fois devant Power Rangers. Remarque, je connais parfaitement des gens qui ont passé le cap de l'adolescence en prenant Parker Lewis pour une marque de riz basmati.
La partie Power Rangers Zeo ressemble un peu à C'est Mon Choix, c'est vrai. Mais ce n'est pas ma faute.
Je serais bien resté plus longtemps, mais il faut que j'aille acheter une robe. Désolé pour le retard, et à la semaine prochaine, bien sûr !
Il y a deux écoles: celle qui croit tout connaitre des "années 90" en criant "Force Rouge !" lorsqu'elle parle de Power Rangers, et celle qui sait que Jason n'avait pas autant la classe que Billy. Choisis ton camp, camarade.
A part ça, je suis un boulet d'envergure exponentiellement exagérée, je me suis planté de mini-DV ce week-end et ai un peu bousillé la séance toi-aussi-fais-des-bétises-sur-un-piano-à-queue en filmant par dessus. Voilà pourquoi ce petit interlude, pas très classe, mais qui fait du bien, et qui est accessoirement pour moi un morceau de la victoire puisque j'ai fini l'année comme je voulais et je suis pris là où je veux. Donc, si tu es à Rennes et que tu veux me payer un verre, tu n'as exactement plus que moins de soixante jours pour le faire, après quoi je déserte ! Temporairement, bien sûr.
Ces considérations futiles mises à jour, j'avoue que je ne saurais trop quoi vous annoncer de plus que la dernière fois. Donc, revenons aux Power Rangers, dont seul le néophyte est persuadé que la profondeur scénaristique est l'exact opposé de Watchmen. Power Rangers, c'est très profond. C'est l'acceptation de l'autre à travers la catharsis du modèle, du héros, de l'espoir qui transparait là où le monde se voit tiraillé par des monstres vils et infantiles. Et en plus, il y a des robots dinosaures. Sans rire, il faudrait ne jamais avoir eu d'enfance pour ne pas avoir scotché au moins une fois devant Power Rangers. Remarque, je connais parfaitement des gens qui ont passé le cap de l'adolescence en prenant Parker Lewis pour une marque de riz basmati.
La partie Power Rangers Zeo ressemble un peu à C'est Mon Choix, c'est vrai. Mais ce n'est pas ma faute.
Je serais bien resté plus longtemps, mais il faut que j'aille acheter une robe. Désolé pour le retard, et à la semaine prochaine, bien sûr !