A la veille du match contre Le Havre, au Parc des Princes, Luis Enrique s'est exprimé ce vendredi en conférence de presse, revenant sur la qualification du PSG pour les demi-finales de Ligue des champions, mais aussi sur la gestion de son effectif et les échéances à venir.
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00:00Eh bien, en général, j'ai aimé tout le match. C'est une éliminatoire de Ligue des Champions très difficile, on l'avait prévu. Après avoir analysé le match en profondeur, eh bien, je pense que nous avons joué mieux que ce qu'on aurait pu penser aussi l'entraîneur à l'influence des émotions.
00:26On n'est pas été influencé par ses émotions pendant le match, le résultat. Et c'est vrai qu'il y a des choses qui peuvent s'améliorer dans un match, c'est toujours là, mais je le répète, normalement, quand j'analyse le match, déjà à froid, parce que je ne suis plus influencé par le résultat et les émotions, eh bien, je pense que ça a été un match de haut niveau qui reflète ce que nous sommes comme équipe.
00:49Une équipe très courageuse qui va jouer à Villapark contre un rival, un adversaire éliminé et capable de gagner 0-2 en jouant bien, en profitant des espaces.
01:03J'ai bien aimé l'attitude de mes joueurs, leur comportement. C'est vrai que nous avons commis quelques erreurs, mais c'est un jeu où on commet des erreurs, parfois.
01:12Il y a des choses à améliorer, sans aucun doute. Mais la plupart de ce que j'ai vu et ce que j'ai analysé, eh bien, c'est positif.
01:22À partir de là, il ne serait pas juste de penser qu'on va écraser toujours les adversaires et qu'on est le seul équipe de la Ligue des champions et que nous sommes les favoris.
01:34Personne à PSG ne le croit, ni les joueurs, ni son entraîneur. Nous sommes l'un des quatre favoris pour remporter cette coupe parce que nous avons fait des mérites au long de la saison.
01:47Je pense que c'est important aussi pour nous d'être le seul équipe qui était au dernier carré l'année dernière. Et cette année, nous sommes là encore.
01:58Donc, tout ce que j'ai vu est très positif. Et c'est évident qu'il y a eu dix minutes en début de deuxième mi-temps où l'adversaire a été très près d'égaliser l'éliminatoire, mais ils ne l'ont pas fait.