Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 15/04/2025.
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00:00C'est non, je ne sais jamais.
00:16Aston Villa, Paris Saint-Germain, quel sera le score final ?
00:20Mélisande Gomez.
00:204-2.
00:22Pour qui ?
00:232-4.
00:23Ok, merci beaucoup.
00:24Attention.
00:25Hugo Guimet.
00:26Sur les conseils de Joanne, 2-2.
00:28D'accord.
00:30Stéphane Guy.
00:321-3.
00:34Jérôme Alonso.
00:342-3.
00:35Et enfin, Jo Micou.
00:37Putain, je passe en dernier.
00:38Yeah, yeah, yeah.
00:40Ça reste comme ça.
00:41Allez, ça reste comme ça.
00:43Allez, je passe en dernier.
00:463-2 pour Aston Villa.
00:49Mais c'est Paris.
00:49Fort de son succès, 3-1 à l'aller.
00:51Il y a une semaine, qui jouera les demi-finales de la Ligue des Champions ?
00:56Paris se qualifie pour la deuxième année consécutive dans le dernier carré.
01:00Bravo Paris.
01:02Mais on a souffert.
01:04Regardez le visage de nos chroniqueurs.
01:07Faut-il les féliciter ou leur tirer les oreilles ?
01:09On aura peut-être cette discussion-là dans quelques minutes.
01:12Aucun n'a donné le bon pronom.
01:14Même vous qui parlez en dernier.
01:15Il y avait un score qu'on a pu être joué.
01:21Virginie Saint-Sylé, on la voit toujours venir.
01:22Bonsoir Virginie.
01:23Bonsoir Mémé.
01:24Bonsoir tout le monde.
01:25Le résumé de cette défaite du Paris Saint-Germain.
01:27Mais finalement, c'est un happy end puisque Paris se qualifie.
01:303 buts à 2 pour la seule villa.
01:31A vous de jouer.
01:32Avec 2 buts parisiens d'abord sur 2 contre-éclairs.
01:35Barcola vite lancé à gauche pour le premier.
01:36Le centre pour Dembélé.
01:38Martinez repousse.
01:39Hakimi a bien suivi.
01:40C'est lui qui ouvre le score.
01:41Dembélé lancé ensuite.
01:43Le centre pour Nuno Mendes.
01:44Le contrôle et la frappe.
01:45Le break est fait.
01:47Et puis ce relâchement, cette perte de balle.
01:48Et Tillmans qui va combiner avant d'enrouler du droit.
01:51C'est dévié par Pacho dans sa cage.
01:53McGuin égalise à la reprise d'un but magnifique.
01:55Tout seul dans l'axe.
01:56Il frappe à l'entrée de la surface.
01:59Et gros numéro de Rashford dans la foulée.
02:00Qui crochète Ruiz puis Vitinha avant de trouver contre ça en retrait.
02:04Ça fait 3 buts à 2.
02:06On va directement à Villapark en Angleterre.
02:08Des côtés de Birmingham pour retrouver notre envie spécial.
02:11Giovanni Castaldi.
02:12Giovanni.
02:14Bonsoir.
02:16Bonsoir Mémé.
02:18Ouf.
02:19On a eu chaud.
02:20C'est quoi le sentiment là-bas.
02:22Chez vous.
02:26Déjà honnêtement ambiance exceptionnelle.
02:29Il y a des faux airs de Saint-James Parc je trouve.
02:32Du côté de Villapark.
02:33Voilà le sentiment que le Paris Saint-Germain à 0-2.
02:37Il a commencé à se prendre pour une autre équipe.
02:40Vitinha a fait des choix incompréhensibles.
02:42Je trouvais qu'il y avait beaucoup d'arrogance.
02:44Chez certains parisiens.
02:46Ça ne leur ressemble pas.
02:47Luis Enrique a été extrêmement nerveux.
02:51Quand il y a eu la folie qui s'est abattue les deux buts à partir de la 50ème.
02:55Le Paris Saint-Germain a vraiment été en difficulté.
02:58Secoué comme rarement depuis le mois de janvier.
03:01Voilà.
03:02Donc moi ce qui m'a énormément déçu de la part des Parisiens.
03:04C'est que j'ai vu des comportements très très très agaçants.
03:07Et 2-3 personnes qui ont tenu la baraque.
03:09Coup de chapeau à Donnarumma.
03:10Marquinhos et Fabienne Ruiz qui ont été très bons ce soir.
03:14Contrairement à beaucoup de leurs partenaires.
03:16Voilà.
03:16On vous laisse respirer tout ça.
03:18On se posait des questions à la mi-temps.
03:19Enfin je me posais la question.
03:20C'est Louis Cédrique.
03:21Allez juste leur tirer un petit peu les oreilles à la mi-temps.
03:24On verra.
03:25On est ensemble jusqu'à la fin de la soirée.
03:27Vous retenez quoi chers chroniqueurs ?
03:29La calife ou le scénario ?
03:31Louis Pépette ce soir.
03:32On y va.
03:33Habillage à l'Américaine.
03:34À la Parisienne.
03:36La calife ou le scénario ?
03:38La calife.
03:38La calife.
03:40Hugo ?
03:42Je peux le scénario parce que la calife m'y attendait.
03:44Le scénario.
03:45Monsieur qui ?
03:47La calife.
03:48Calife.
03:49Monsieur Alonso ?
03:51Quand même.
03:52Quoi ?
03:52Le scénario.
03:53Le scénario ?
03:54Jo, c'est le moment de boire la petite tasse de café.
04:00Jingle.
04:01Adaptez la taille.
04:02Tu as une sorte d'émission entre tes mains.
04:05Mélisande et Stéphane sur la calife qui est le premier cordée.
04:09On est déjà solidaires après le match allé.
04:11Mélisande, je le note et je m'en félicite.
04:12Donc oui mais ça ne répond pas à ma question.
04:14C'est qui démarre ?
04:15C'est Mélisande qui ouvre ?
04:16D'accord.
04:17Hugo ou Jérôme ?
04:18Jérôme décide de la stratégie ?
04:19Choisis.
04:21Elle commence.
04:22D'accord.
04:22C'est une partie de ping-pong.
04:25La calife, Mélisande Gomez, on va à l'essentiel.
04:27Oui, Paris qualifié.
04:28On y va.
04:29Oui parce qu'il faut vraiment connaître peu de choses du football pour imaginer que le PSG était déjà qualifié avant ce match retour.
04:34Et d'ailleurs si vous faites le replay de la semaine dernière, moi-même et mon collègue Stéphane Guy, on avait prévenu qu'il y aura un match retour et qu'il serait compliqué.
04:41Ce qui s'est avéré ce soir, de début à la fin quasiment.
04:44Donc on avait vu juste, on avait anticipé.
04:47Et du coup on retient la qualification.
04:49Qu'est-ce qui est venu chercher le PSG à Birmingham ?
04:52Ils sont en demi-finale et c'est tout ce qui nous intéresse maintenant.
04:55Après on est du mal à se qualifier sans match retour.
04:56Ça arrive à tout le monde, même au Barça ce soir.
04:58Le coin de la fin de l'émission, merci, au revoir.
05:00Bonne soirée à vous.
05:01Non Jérôme, c'est à vous de jouer.
05:02Au-delà des attaques perfiles et personnelles de Médicent, je retiendrai le scénario évidemment.
05:06Parce que moi je crois que c'est très bien en fait.
05:09C'est très bien parce que Giovanni en preuille un mot qui est le mot arrogance.
05:12Et c'est bien, une piqûre de rappel comme ça sur le très très haut niveau.
05:15Je crois que cette calife acquise dans ces conditions-là va faire un bien fou dans la progression de ce PSG-là, de ce jeune PSG-là.
05:22Puisque effectivement, Gio l'a dit encore une fois, c'est les anciens ce soir qui ont eu la baraque.
05:25Je pense à Ruiz, à Donnarumma notamment.
05:27Et c'est bien, les gens vont prendre la graine.
05:29Mais attention, pas d'arrogance à ce niveau-là.
05:31Il n'y a jamais un match gagné facilement et surtout pas une calife.
05:34La calife, c'est ce que retient essentiellement Stéphane.
05:37Oui, c'est ce que l'histoire retiendra.
05:39C'est-à-dire quatrième demi-finale de Ligue des Champions pour Paris en six saisons.
05:43Voilà, ils ont fait le job, ils ont souffert.
05:45On l'avait effectivement pensé très préalablement avec Mélisande la semaine passée, on l'avait annoncé.
05:51Ils ont beaucoup souffert.
05:52Mais ils ont eu le mérite aussi après l'heure de jeu.
05:55Parce que Villers est revenu très tôt dans le match.
05:57Dans le coup, en tous les cas, ils ont eu le mérite de ne pas sombrer
06:00et de ne pas rejoindre quelques-unes de leurs équipes devancières très fameuses.
06:06Voilà, donc bravo à eux.
06:08Il s'est rétabli sur ses deux petites pattes arrière.
06:11Hugo, vous retenez le scénario, pourquoi ?
06:14C'est très marrant que nos deux camarades convoquent une émission de la semaine passée.
06:18Alors qu'il y a seulement trois quarts d'heure sur ce plateau à la mi-temps.
06:20Ils nous disaient que c'était terminé.
06:21Non, c'est toi qui disait ça.
06:22Non, non, vous l'avez dit aussi.
06:24Donc c'est très marrant.
06:26On pourra ressortir les bandes.
06:28Donc évidemment, à la mi-temps, tout le monde pensait que c'était fini, que le PSG était qualifié.
06:33Avant la double confrontation, tout le monde s'attendait à ce que le PSG se qualifie face à Aston Villa,
06:38qui n'est pas non plus un ogre européen.
06:39Et ce soir, ils se sont fait bouger dans des proportions en seconde période qui sont assez énormes.
06:43Donc évidemment qu'il faut retenir ça.
06:45Ok.
06:46Je crois que...
06:47Pour la carrière, on ne va pas sortir les bandes de la mi-temps.
06:50Je crois que...
06:51C'est Mélisande.
06:53Non, non, vous avez dépassé votre chrono.
06:55Évidemment qu'il n'y a pas de soucis.
06:56C'est un jaune pour vous, Mélisande.
06:59Président, à vous de trancher.
07:00C'est la qualif ou c'est le scénario ?
07:03Non, mais je rejoins ce que disait Hugo.
07:05C'est-à-dire qu'à la mi-temps, tout le monde disait que c'était pillé,
07:07comme on avait pu déjà le dire la semaine dernière,
07:09et tout le monde pensait que ça allait être pillé.
07:11Donc la qualif, on s'y attendait un petit peu.
07:13Moi, ce que je retiens, c'est le scénario qui nous a tenus en haleine toute la deuxième mi-temps,
07:17où on était super excité de voir cette deuxième mi-temps.
07:21Et voir aussi que ce PSGA a quelques lacunes
07:24et que ça va aussi leur servir pour la suite, à mon avis,
07:28de jamais relâcher pour essayer d'aller au bout et chercher ce trophée.
07:32Donc si on ne retient que la qualif sur ce match-là, je suis quand même assez surpris.
07:36Ok, d'accord.
07:36Alors, c'est un point pour la doublette, guillemets, Alonso.
07:40Par rapport à ce qu'on a vécu, quand même.
07:41Mais que s'est-il passé à la pause ?
07:43La question était la suivante.
07:44Je pense que Louis-Sédric a dû faire une bonne causerie.
07:45Faut-il féliciter Paris ou leur tirer les oreilles ?
07:48C'était le sujet.
07:49C'était plutôt moi qui m'étais fait tirer les oreilles.
07:51Mais qu'est-ce qu'il s'est réellement dit ?
07:52Tu ne peux pas présager.
07:53Qu'est-ce qu'il s'est réellement dit ?
07:54Ripley, Ripley, s'il vous plaît.
07:56Je demande le Ripley.
07:57Premier de cordée, Hugo Guillemet.
07:59Mais il n'est pas le seul.
08:00À la 70e, il peut envoyer Mayoulou et Mbaye, pour moi.
08:06Et ça continue comme ça.
08:08Pour moi, le match, il est maîtrisé.
08:12Alors que la Ligue 1, ce n'est pas trop maîtrisé.
08:14Donc, il faut qu'il fasse reposer ses joueurs.
08:16Non, mais la Ligue 1.
08:18Mais là, de toute façon, Paris, ils sont dans un fauteuil.
08:20Il ne va pas faire ce genre de coaching.
08:21Je dis ça pour provoquer.
08:22Il ne va pas rentrer Mayoulou et Mbaye.
08:24Mais ce match-là, ils l'ont déjà éteint.
08:28Donc, il fait ce qu'il veut.
08:29Paris a éliminé.
08:30City, Liverpool, ils ne vont quand même pas se faire taper par un stand-villa.
08:35Non, ça ne serait pas…
08:36On continue le tour de Carsonal après.
08:39Après le rerun, le stand-villa.
08:43Et qui est qualifié ce soir ?
08:45Paris.
08:47Entre nous, vous avez dit quoi à un moment dans le match ?
08:52Non, non, non.
08:52Je n'ai jamais pensé qu'il se qualifierait pas.
08:54Juste deux secondes.
08:55Ce qu'on voit à la première mi-temps,
08:58l'analyse qu'on a fait à la mi-temps
09:00ne peut pas te laisser présager
09:02ce que tu lui as mis pendant 20 minutes.
09:03C'est impossible.
09:06Tu prends l'eau.
09:07Non, pas du tout.
09:08Giovanni Castaldi.
09:09Je suis d'accord avec Jérôme.
09:10Non, il y a Giovanni qui n'est pas d'accord.
09:11Il faut arrêter de faire les mi-temps.
09:13Moi, je ne fais plus de mi-temps.
09:14Pourquoi ?
09:15Parce que le football, il est fou, en fait.
09:16Le football, il a changé.
09:18Il faut l'analyser à la fin du match.
09:19Ils ne sont pas assez mauvais à la première mi-temps
09:21pour que tu puisses imaginer ça.
09:22Ce n'est pas possible de sentir ce truc-là.
09:23Je ne peux mettre l'eau.
09:26Moi, je n'ai jamais douté de la qualif,
09:27mais je me dis qu'ils ne sont pas à ce point-là.
09:29On n'est pas des voyants.
09:30Donc, on analyse à la première mi-temps.
09:31Moi, j'avais analysé.
09:32Je n'avais pas le même constat que vous,
09:33mais ce n'est pas grave.
09:34Le ressenti.
09:34Le ressenti, j'étais seul au truc.
09:37Mais ce n'est pas grave.
09:38On s'en fout.
09:39Pour une fois, au bout de 16 ans,
09:42j'ai vu juste...
09:43Tu en prends à nos côtés.
09:44Je fais une saison à la Dembélé.
09:46Je me révèle.
09:47Giovanni, vous étiez en train de léger
09:49au propos de Gérôme Alonzo,
09:53qui était en train de prendre un vin
09:53dans sa baignoire.
09:55Et vous, à la pause,
09:56qu'est-ce que vous avez ressenti ?
09:57Complètement dû.
10:00Mais moi, en fait, à la pause,
10:02je me dis que si Villa continue
10:04de pousser comme ça,
10:05ça va le faire.
10:06Parce qu'honnêtement,
10:07je trouve que le meilleur symbole...
10:08Je ne vais pas m'acharner sur lui
10:10parce qu'il fait une saison exceptionnelle.
10:11Mais je trouve que le comportement,
10:13par exemple, de Vitigna,
10:15les talonnades dans la surface et tout,
10:16c'est hyper révélateur.
10:18Et quand il y a le but de Tillemans,
10:20tu te dis que c'est bien fait pour Paris,
10:22qu'il se prend pour une autre équipe
10:23et qu'il oublie ses fondamentaux.
10:25Donc, évidemment,
10:26je n'avais pas prédit
10:27que ce soit cette folie
10:28et qu'il y ait ce suspense
10:29de la doutée de la qualif du PSG.
10:31Ça serait excessif.
10:32Mais je trouve que les prémices
10:33de ce qui se passe
10:34sur le premier quart d'heure
10:35de la seconde,
10:36ils sont très visibles
10:37à partir du moment
10:38où il y a 0-2 pour le PSG.
10:40C'est pour ça que pour moi,
10:41et je suis désolé,
10:42je n'en veux pas à Mélisande Gomez
10:43et à Stéphane Guy
10:44pour qu'ils aient de l'affection
10:45au demeurant,
10:46mais de dire
10:46on s'attendait à ce qu'ils souffrent
10:48et tout à 0-2 en fait,
10:49il ne peut pas se passer
10:51ce qui s'est passé.
10:52Donc ce soir,
10:52si tu veux que le PSG
10:54aille loin en Ligue des Champions,
10:55il faut retenir évidemment le scénario
10:57parce que ce match-là,
10:58il doit leur servir
10:58pour plein de choses
11:00pour progresser à l'an final
11:01parce qu'ils se sont vraiment pris
11:02pour une autre équipe
11:03pendant une grosse demi-heure.
11:05Il y a eu des moments,
11:06moi, des moments
11:07où quand même,
11:07j'ai eu un petit doute.
11:08donc on est à la 58ème minute
11:11quand ça vient de permettre
11:13à Aston Villa
11:13de passer devant
11:14et juste après,
11:15j'ai 59ème minute
11:16Tillmans de la tête,
11:18réflexe incroyable
11:18de Donnarumma.
11:20J'ai 69ème minute
11:21Aston Villa
11:22balle de 4 à 2
11:23pour Asensio.
11:24Vous savez,
11:24les fausses croyances
11:25en disant
11:25tiens,
11:25l'ancien joueur du PSG
11:26qui est prêt
11:27à l'an final.
11:28Quelle idée
11:28de faire rentrer Asensio
11:29dans ce match-là.
11:30Et Aston Villa
11:32bat de 4 à 2
11:32pour Tillmans
11:33avec le coup franc
11:34de Rashford.
11:35Là,
11:35il ne la touche pas.
11:36D'ailleurs,
11:41vous l'avez cité 3 fois,
11:42un grand merci
11:42à Unai Emery
11:43d'avoir sorti Rashford.
11:45Parce que moi,
11:45je ne suis pas coach,
11:46mais sortir Rashford
11:47avec les premières 25 minutes
11:49qui font des habitants,
11:50je ne m'explique pas pourquoi.
11:52Il était dans toutes
11:52les actions
11:53qui mettaient la misère
11:54à Paris.
11:55Toutes.
11:55Et physiquement,
11:56il était bien,
11:56il ne pouvait pas le trouver.
11:57Il n'était rien,
11:58il faisait mal.
11:59Et du moment
12:00où Rashford sort,
12:02ça s'est un tout petit peu calmé.
12:03D'ailleurs,
12:03on a oublié une action.
12:04C'est surtout du moment
12:05ou à SNC au rente,
12:06de mon point de vue.
12:08Fantomatique.
12:10Il y a une action de Rashford
12:10qui est juste avant
12:11le 2-2.
12:13Oui.
12:14C'est la frappe
12:14avec encore un arrêt
12:15stratosphérique
12:16de Donnarumma.
12:16Alors,
12:16c'est une minute ou deux.
12:17La 57e minute.
12:19Quel pétard de Rashford.
12:20Oui,
12:20c'est ça.
12:20C'est avant le 3-2.
12:21Il a raison.
12:22Avant le 3-2.
12:22Il y a eu 2-2.
12:23C'est une première balle
12:24le 3-2.
12:25Il est exceptionnel.
12:27Non,
12:27mais sur le moment
12:28où ils reviennent
12:30en quelques minutes chrono
12:30et après,
12:31il y a des occasions.
12:31Je ne suis pas d'accord
12:31sur la faillite.
12:33Ce serait une faillite mentale.
12:34On parle d'arrogance.
12:35Moi,
12:35je ne crois pas.
12:36Ils ont été battus.
12:38On a vu les faiblesses,
12:39les vraies faiblesses du PSG
12:40qu'on voit
12:41de façon extrêmement sporadique
12:43parce qu'ils jouent
12:43contre personne
12:44toutes les semaines.
12:44Donc,
12:45quand ils prennent des buts,
12:45bon,
12:46ils embarquent le 3 derrière.
12:47Mais on voit que défensivement,
12:48c'est l'équipe
12:49qui ne peut pas aller au bout.
12:49Je suis très surpris
12:51que vous dites
12:51que vous ne sentiez pas du tout
12:53qu'ils allaient se faire éliminer
12:54ce soir quand même.
12:55Parce que si Donnarumma
12:56a fait passer 2-3 parades,
12:57tu passes à 4-2.
12:58Moi,
12:58je pensais qu'ils allaient remarquer.
13:00Franchement,
13:00je pensais qu'ils allaient remarquer.
13:01Après,
13:01tu n'es toujours pas éliminé.
13:02Il y avait quand même
13:03un tout.
13:03Je trouve que le coaching,
13:04quand Emory commence
13:06à coacher,
13:08faire entrer Asensio,
13:09on l'avait vu au match allé
13:10transparent,
13:10retransparent ce soir,
13:12je me dis effectivement
13:13t'enlèves Rashford,
13:14Watkins,
13:15meilleur attaquant de Villa
13:16que tu ne vois pas
13:16sur les deux matchs.
13:18Après,
13:19il a sans doute...
13:20Ils ont des occasions
13:20du 4-2 quand même,
13:21même avec ça.
13:22Ils n'en ont pas beaucoup.
13:23Il est quand même
13:24un contre-un,
13:24tu as la tête de Thinbats
13:26qui va chercher.
13:27Pour moi,
13:27c'est un arrêt acceptable.
13:28Juste après le but.
13:29Donc,
13:30ça peut faire 4-2 facilement.
13:31Parce qu'ils jouent bien
13:31le foot,
13:32ils ne sont pas éliminés.
13:36Oui,
13:36mais je veux dire,
13:37c'est 4-2
13:37avec le stade qui pousse.
13:38Il y avait encore
13:38un but derrière.
13:39Avec la deuxième victoire
13:40que tu es en train de faire.
13:41Si tu dis,
13:42on va passer sans problème.
13:46de 5-1
13:46sur l'ensemble des matchs
13:48et tu prends un 4-0.
13:49Tu prends un 3-0.
13:50Oui,
13:50tu as pris un 3-0
13:52mais tu prendrais un 4-0.
13:53Et là,
13:53tu dirais,
13:54on est serein.
13:55Non,
13:55il ne s'agit pas...
13:56Il ne dit rien,
13:58on retient la qualif.
13:59Moi,
13:59je n'ai pas dit
13:59que j'étais serein.
14:00Je n'ai jamais cru
14:01qu'ils allaient être éliminés
14:02ce soir.
14:02S'il y a la 4-2 à 60e ?
14:044-2 à 60e ?
14:06Sur Asensio,
14:09la 69e minute,
14:10sa balle de 4-2,
14:11c'est un mauvais choix
14:12de l'Espagnol.
14:12Je trouve qu'il donne
14:14beaucoup d'informations
14:15à Donnarumma
14:15sur l'ouverture,
14:16non ?
14:16Je pensais qu'il allait faire ça
14:19d'ailleurs.
14:19Je pensais qu'il allait faire
14:20semblant d'ouvrir
14:20et crocheter
14:21pour après se l'amener
14:22pied droit et pousser.
14:24Après,
14:24il tente direct,
14:25il tape sur le pied
14:26de Donnarumma,
14:26il fait un bel arrêt.
14:27Il arrive vite sur lui,
14:29il ne donne aucune information.
14:30Donnarumma,
14:30pour le coup,
14:31ne donne aucune information.
14:32C'est un duel
14:34qui est très bien joué
14:35par Donnarumma aussi.
14:36Il arrive vite sur lui.
14:38Il l'attend au sol
14:39et quand c'est au sol
14:40comme ça,
14:41t'es obligé de la mettre
14:41entre les jambes du gardien.
14:42Peut-être qu'il cherche ça.
14:44Il cherche peut-être
14:44à mettre entre les jambes
14:45mais pas la place.
14:46Mais parfois,
14:46le gardien joue mal un duel
14:47parce qu'il arrive trop tard,
14:48parce qu'il arrive trop vite,
14:49parce qu'il arrive trop tôt,
14:50parce qu'il arrive...
14:51Et là,
14:51Donnarumma est arrivé
14:51dans le timing parfait.
14:52Après,
14:53c'est Donnarumma
14:54qui fait mal jouer à Sensio,
14:55je pense,
14:55aussi,
14:56par la vitesse à sortie.
14:57Vous étiez plus
14:58des très bons joueurs.
14:59Comment on arrive
15:00à rater une tête ?
15:01On a fermé les yeux,
15:02c'est contre ça.
15:03Comment on n'arrive pas
15:05à toucher ?
15:05Parce que je trouve
15:06qu'il veut faire
15:06le geste de la tête.
15:07Il fait tout,
15:08mais...
15:08Pour moi,
15:09il a juste à la toucher,
15:09en fait.
15:10Il n'y a pas besoin
15:10de faire le geste comme ça.
15:12Il doit faire juste
15:12la pousser comme ça.
15:13C'est en faisant le geste
15:14qu'il perd le sentiment
15:15que tu lui manques à l'arrivée.
15:15J'ai l'impression
15:16parce qu'en plus,
15:17la balle...
15:18C'est Rashford,
15:19c'est un coup franc à l'intérieur.
15:20Il a juste à la toucher.
15:21Il n'y a même pas besoin
15:22de mettre...
15:22Il est fantastique,
15:22le coup franc.
15:23Après,
15:24ça arrive.
15:24Après,
15:25il y a l'émotion aussi.
15:25Tu sais que si tu marques
15:26cette quatrième,
15:27peut-être un coup de stress.
15:29Sur le but de McGinn également,
15:31sur le but du 2 partout.
15:32McGinn va faire
15:33à peu près 40 mètres.
15:35Comment se passe
15:36le jeu défensif ?
15:37Qu'est-ce qu'il va pas ?
15:38Il avance,
15:39il avance.
15:39Il va courir après,
15:39du début à la fin.
15:41Il a pris de la défense
15:42pour moi,
15:42il doit s'arrêter.
15:43Tu ne peux pas rentrer
15:44dans tes 6 mètres.
15:45Je crois que tu as un autre milieu.
15:46Il y a Ruiz ou Vittinien
15:48qui est derrière.
15:49Mais il y a quelqu'un
15:49qui doit venir fermer l'axe.
15:51Il ne peut pas courir
15:55mais quand tu vois
15:56que tes milieux
15:57n'arrivent plus,
15:58tu t'arrêtes.
16:00Là, ils ont fait que le recul.
16:03Il y a une belle parade à la fin.
16:07Tiens, Giovanni a vu quelque chose.
16:08Il y a aussi la volée.
16:12Madsen.
16:14Je ne sais pas
16:15si elle est cadrée ou pas.
16:16Je pense qu'elle revient.
16:17Ça revient bien.
16:19Elle va petit filet.
16:20Ça fait beaucoup.
16:21Sur l'égalisation,
16:22le 2 partout,
16:23le but de McGinn,
16:24je crois que vous aviez
16:26quelque chose
16:26à nous raconter, Giovanni.
16:30Oui.
16:30Juste après le but
16:31de McGinn,
16:33ils se sont pris la tête
16:34les milieux de terrain
16:35et les deux centraux
16:36en disant
16:37clairement tous les milieux
16:38ont accusé
16:39Marquinhos et Pacho
16:40de ne pas être sortis
16:41pour ce qui était évident.
16:43Je trouve que les deux
16:44défenseurs parisiens
16:44ont beaucoup trop reculé.
16:46De manière générale,
16:47c'était une soirée
16:47très compliquée
16:48pour Pacho, je trouve.
16:51Sur les situations,
16:52on va dire,
16:53offensives du Paris Saint-Germain,
16:54dans la deuxième période.
16:56J'en veux un peu
16:57à Ousmane Dembella
16:59à son 18ème minute.
17:00Il fait un choix individuel,
17:01il doit servir doué, non ?
17:02Oui, il y a la place.
17:04Il y a deux suites.
17:07Et là, c'est quoi ?
17:07Ce qui se passe,
17:09c'est le sauveur.
17:11Il y a un élément
17:13sur la deuxième période
17:14qui interpelle
17:14et les stats le montrent.
17:15c'est Paris a couru
17:17cinq bandes de moins
17:18que Villa.
17:19Et moi, ce match,
17:20ce fameux match
17:20qu'on reporte,
17:21je trouve que c'est une connerie.
17:23Ça n'a peut-être aucun lien.
17:24Ça n'a peut-être aucun lien.
17:25Mais en tout cas,
17:25moi, je les ai trouvés
17:26physiquement en difficulté
17:28en deuxième période.
17:29Dans le coton ?
17:30Oui, je pense.
17:31C'était peut-être aussi
17:31dans la tête
17:32où ils étaient un petit peu...
17:33Après, c'est improbable
17:35ce que je dis.
17:36Mais moi, ça me plaît.
17:38Quand tu mènes 2-0,
17:39tu as peut-être un relâchement.
17:41Et finalement,
17:41quand on te met une pression
17:42comme ça aussi forte,
17:43tu n'arrives pas à repartir.
17:44Et ça, j'ai l'impression
17:45qu'ils ont eu vraiment du mal
17:46à se remettre en tout cas.
17:47Par rapport à ce que Steph
17:48vient de dire,
17:48comme le Barça,
17:49d'ailleurs, ce soir,
17:50pareil.
17:50Vous, votre expérience de joueur
17:52quand vous étiez une semaine
17:53dans des moments
17:53de grande intensité,
17:54quand vous étiez une semaine
17:55sans jouer...
17:55Mais vous, vous étiez gardez,
17:55vous ne courrez pas beaucoup.
17:56Non, mais je courais plus que...
17:58Les trois derniers matchs
18:06où Paris ne joue pas le week-end,
18:07donc Dortmund, Dortmund l'année dernière
18:09et Villa aujourd'hui,
18:10c'est trois défaites, non ?
18:11Oui.
18:12Voilà.
18:12C'est juste pour un contre-là.
18:13Bien joué, j'ai l'impression.
18:15Moi, je suis d'accord
18:16que le fait de couper comme ça,
18:18surtout avec des équipes
18:19qui ont un rythme régulier
18:20de la compétition,
18:21je ne suis pas sûr
18:22que ce soit une super idée.
18:24Mais les trois fois,
18:25trois défaites.
18:25Parce qu'en plus,
18:26t'aurais fait jouer Nantes,
18:26t'aurais fait jouer...
18:27Vaut mieux faire un petit match
18:28une demi-heure,
18:30trois quarts d'heure
18:30plutôt que de t'entraîner.
18:31On vous en tourner,
18:32tu vois, c'est pas...
18:33Là, on aurait peut-être
18:34pu voir Oudbaï et Mailloulou.
18:36Je trouve que ce n'est pas
18:37une super idée, moi.
18:38Attention, en général,
18:39vous aussi, vérité auteur.
18:40Pour la demi,
18:41il ne faudra pas couper le monde.
18:42C'est un match,
18:43je ne sais pas s'il y a un match.
18:44OK.
18:44Si, il y a des matchs,
18:45de toute façon,
18:46il y en a un rattrapé.
18:47Ousmane Dembélé
18:48a parlé chez nos copains
18:49de canal, qu'est-ce qu'il dit ?
18:50Oui, il est conscient
18:50qu'ils se sont un petit peu
18:52fait peur.
18:52On s'est rendu la tâche difficile,
18:53on s'est relâchés
18:54en deuxième mi-temps,
18:55on s'est vus trop beaux.
18:56À 2-0, on pensait
18:56que c'était terminé.
18:58Mais en Ligue des Champions
18:58avec un public comme ça,
18:59ça peut changer un match.
19:01Ce match va nous servir
19:01pour apprendre à ne pas
19:03se relâcher.
19:03Autre information,
19:04c'est que c'est
19:05Ousmane Dembélé,
19:06l'homme du match.
19:06L'homme du match,
19:07Ousmane Dembélé ?
19:08Eh oui.
19:09Assez surprenant, mais oui.
19:18quand ils ont pris
19:19les deux buts,
19:20il a fait pas de personnalité.
19:21Oui, oui.
19:23Il a pris le ballon,
19:24il a essayé de remettre
19:25un peu tout le monde
19:25en selle et ça,
19:27bon après,
19:27il a fait quelques mauvais
19:28choses dans la finition.
19:29Si tu donnes pas
19:30le meilleur homme du match
19:31à Donnarumma,
19:32moi je comprends plus rien.
19:33Bah oui.
19:34Ça fait longtemps
19:35qu'on débat plus
19:35de l'homme du match du UEFA.
19:37Sur la personnalité
19:38d'Embélé,
19:39je ne sais pas si Joe
19:40est dans la place,
19:41mais il a joué,
19:43on va dire,
19:44son rôle de cadre.
19:46Il a remonté
19:46les bretelles de ses copains.
19:48Il a été un leader
19:49par l'exemple.
19:49Qu'est-ce que vous avez
19:50pu constater au stade,
19:51vous Joe ?
19:54Sur l'exemple,
19:55il l'est toujours
19:56parce qu'il n'a pas
19:57démérité dans l'intensité,
19:59dans le pressing.
20:00Ça a d'ailleurs été
20:00vraiment le sujet
20:02de la rencontre
20:02pour Luis Enrique.
20:03Plusieurs fois,
20:04il a repris Bradley Barcola
20:05au Kvarrach-Kelia.
20:06Il n'était pas du tout
20:07content de la coordination
20:08du Georgien et du Français
20:09sur le placement,
20:11en fait,
20:12sur le pressing.
20:14Il s'en est pris
20:14beaucoup.
20:16Désiré Douai,
20:16pareil,
20:17il s'est fait engueuler
20:18à plusieurs reprises.
20:19De manière générale,
20:19les courses défensives
20:20qu'on avait louées
20:21au Parc des Princes,
20:22elles n'étaient pas là.
20:23Moi,
20:24je ne mets pas ça
20:24sur l'aspect athlétique.
20:25C'est vraiment psychologique
20:26parce qu'on s'est vu trop beau.
20:28Ça résume parfaitement
20:29ce qu'a dit
20:30Ousmane Nabele.
20:31Après,
20:31sur le leadership,
20:32honnêtement,
20:33ce soir,
20:33j'ai trouvé Donnarumma
20:34exceptionnel.
20:35En dépit du fait
20:36qu'il aurait dû être
20:37homme du match,
20:38de ses parades,
20:39je trouve qu'il a
20:39beaucoup parlé,
20:41il a beaucoup rassuré.
20:42Franchement,
20:42l'italien ce soir
20:43dans toutes les parties
20:44sûres et dans la parole
20:45a été très très fort.
20:46Dans quelques minutes,
20:47on aura un petit débat
20:48sur Donnarumma.
20:50Il était le seul parisien
20:51au niveau ce soir.
20:52On en parle
20:53à tête reposée.
20:56Il y a eu
20:57deux ou trois petites lectures
20:58déjà sur
20:59c'est une défaite,
21:00ça va leur faire du bien.
21:02Ils vont apprendre de ça.
21:03Et vous, Stéphane,
21:04vous en doutez,
21:05j'aimerais faire participer
21:06les autres chroniqueurs
21:07en disant
21:07en fait,
21:08non,
21:08c'est un peu...
21:09On a vu les limites
21:10du Paris-sur-Lemagne,
21:11ni plus ni moins.
21:12Ce n'est pas fondamental.
21:14J'aimerais avoir
21:15vos commentaires, Hugo,
21:16par rapport à cette petite
21:17base d'armes mignonne
21:19entre le général
21:19et son adjoint.
21:21Ça fait plusieurs mois
21:22que le PSG
21:23survole
21:24quasiment tous ses matchs.
21:26Je pense comme eux
21:27que ça leur fait du bien
21:28d'avoir une petite
21:29piqûre de rappel
21:29à ce moment-là
21:30de la saison.
21:31Surtout que le week-end,
21:32ils n'ont plus d'enjeux.
21:33Même s'ils venaient
21:34à perdre en Ligue 1,
21:36je ne suis pas sûr
21:36que ça les réveille.
21:38Et se faire secouer
21:39comme ça,
21:39craindre un petit peu
21:40parce que ça a dû
21:41sentir un petit frisson
21:43quand même à la fin
21:44sur la frappe de Madsen.
21:47Ils vont s'en souvenir
21:48et en tout cas,
21:48le staff saura leur rappeler
21:50avant d'aborder Arsenal.
21:52Pour vous,
21:53c'est les limites
21:53du Paris Saint-Germain ?
21:54Je vous trouve très sévères
22:00sur le constat.
22:02On est là en train
22:03de chipoter.
22:03Ils sont qualifiés
22:04en demi-finale.
22:05Si demain,
22:06Arsenal perd 3-2
22:07contre le Real Madrid,
22:08on dira
22:08ils sont nuls,
22:09Arsenal,
22:10ils se sont fait peur,
22:11etc.
22:11Non,
22:12quand vous jouez
22:12un match retour
22:13avec un gros écart
22:14à l'aller,
22:14ce n'est jamais facile.
22:15Ce n'est jamais facile
22:16et ça ne l'a pas été
22:17pour le Barça.
22:18Est-ce que là,
22:18vous pensez qu'à Barcelona
22:19ils disaient
22:19qu'on a une équipe pourrie ?
22:21On dirait la même chose
22:23si Arsenal mène à Madrid
22:25par deux buts d'écart,
22:26ils se font rattraper.
22:26On dirait la même chose.
22:27Ah ouais,
22:27tu diras,
22:28écoute,
22:28libre à toi.
22:29Je pense que...
22:30C'est-à-dire qu'ils mènent
22:312-0 à Madrid,
22:31ils en prennent 5 ?
22:32On dirait,
22:32bon,
22:33je ne sais pas.
22:33S'ils se qualifient
22:36malgré tout,
22:36on dirait,
22:37ils ont éliminé
22:37le Real Madrid.
22:38Je ne suis pas sûr.
22:39Le Real Madrid,
22:39ils sont en demi-finale
22:40avec des champions.
22:41Quand tu es gagné
22:42avec deux buts d'écart,
22:43tu es à 2-0 au tour,
22:45il n'y a pas beaucoup
22:46de joueurs de foot
22:47êtres humains.
22:48Peut-être que vous étiez
22:49des surhommes
22:49qui jamais avaient
22:51une minute
22:52de déconcentration
22:53de relâchement.
22:54Tout le monde se relâche
22:54un petit peu,
22:55c'est normal.
22:55C'est pas ce qu'on l'a dit.
22:56Voilà.
22:57Ils ont gardé le fil
22:59de leur match,
22:59ils ont eu des occasions.
23:00Ils n'ont pas du tout
23:03gardé le fil.
23:04Non, mais dans la rumba,
23:05il y a plusieurs arrêts
23:06qu'il fallait.
23:07Ils n'ont pas
23:08plus pris un bouillon
23:09considérable.
23:10À partir de la 60e,
23:11il n'y a pas eu
23:1215 000 occasions
23:13comme contre Liverpool,
23:14par exemple.
23:14Il y a deux arrêts
23:15considérables.
23:17En fait,
23:18c'est un match de foot.
23:19Oui, mais c'est des arrêts.
23:20Mais tu joues à l'extérieur
23:21dans un match,
23:21dans un stade en feu,
23:23c'est compliqué.
23:24On a juste dit
23:25que ça leur faisait du bien
23:25parce qu'effectivement...
23:26Les louanges,
23:28tout le monde les entend.
23:29Ils sont
23:30comme tout le monde.
23:31Même s'ils sont préparés
23:32mentalement,
23:33c'est des champions.
23:33Les louanges depuis 4 mois,
23:35ils les entendent.
23:35Ne t'inquiète pas.
23:36Tu mets un peu comme ça.
23:38C'est normal.
23:38C'est tous les sportifs
23:39au niveau
23:39qui ont eu ça dans leur carrière.
23:41Les PSG,
23:41pas moins que d'autres.
23:42Ça fait 4 mois
23:43que c'est les plus beaux,
23:44les plus forts,
23:44champions d'Europe.
23:45Le titre, il a eu.
23:46Ballon d'or à Ousmane.
23:46Bravo, merci, au revoir.
23:48Ce match-là,
23:48c'est très bien comme ça.
23:49C'est très, très bien
23:50parce qu'à un moment donné,
23:52quand les louanges arrivent
23:52et que tu n'en prends pas
23:53les oreilles,
23:54un moment donné,
23:54de te faire gifler comme ça
23:56pendant 25-30 minutes,
23:57il ne peut pas t'arriver mieux.
23:58Ce n'est pas parce que
23:59tu as eu un match comme ça
24:00ce soir
24:00que tu n'auras pas un autre
24:01en demi-finale.
24:02Parce que tu as un adversaire
24:03qui peut aussi te mettre
24:04dans les cordes.
24:05Ça arrive.
24:05Peut-être que tu les gèreras mieux
24:06et qu'ils auront moins
24:07l'occasion les autres.
24:07Mais la question est de savoir
24:10si finalement,
24:11le match d'Alston Villa,
24:12il a été induit
24:13par la suffisance de Paris.
24:16Marquinhos peut-être a évoqué
24:18ses temps faibles ce soir.
24:20Il est plutôt d'accord
24:21avec Jérôme Alonso d'ailleurs.
24:22On voulait faire un match complet.
24:24On a su être costaud
24:24et bien défendre.
24:25Cette équipe grandit
24:26de plus en plus
24:27et elle montre des valeurs.
24:28Ce qu'il s'est passé ce soir
24:28va nous aider.
24:30C'est à nous de ne pas reproduire
24:31ces petites erreurs
24:31pour les demi
24:32car cela peut nous coûter.
24:33Tu vois, même eux,
24:35ils sont conscients
24:35de ce qui s'est passé.
24:36Mais bien sûr qu'ils sont
24:37conscients qu'ils n'ont pas fait
24:40le match qu'il fallait
24:41et qu'ils ont failli
24:42passer à la trappe
24:43et que donc,
24:44c'est pour ça qu'on dit
24:45qu'ils sont un petit peu
24:46responsables de ce qui s'est passé.
24:47Ce n'est pas uniquement
24:48Aston Villa
24:48qui a fait un rouleau compresseur,
24:50etc.
24:50C'est eux qui sont passés.
24:52Mais est-ce que c'est
24:52leur relâchement
24:53ou est-ce que c'est
24:53leur faiblesse
24:54qu'on a vu ce soir ?
24:55Pour vous, c'est plus grave.
24:56La faiblesse, moi,
24:57je ne trouve pas
24:58parce qu'ils ont quand même
24:58répondu présent à Liverpool.
25:01Tu vois, ils ont quand même
25:02des capacités défensives
25:03et il y a un autre élément.
25:06Lister les petites choses
25:07pour vous,
25:08ce que vous avez repéré,
25:09on va dire,
25:10comme défaut dans la cuirasse.
25:11Ça peut être intéressant
25:11parce qu'on ira voir Giovanni.
25:13Giovanni, écoutez.
25:14Si on analyse les buts
25:15qu'ils prennent,
25:16c'est quand même
25:17des grosses fautes
25:18de défense.
25:20La façon dont Rashford
25:21s'amuse avec deux Parisiens,
25:23etc.
25:24La façon dont McGuin
25:26traverse les lignes
25:27pendant 40 mètres
25:27sans être attaqué.
25:28Pour moi, c'est des choses...
25:30Et il y a un élément
25:31parce qu'on va parler
25:32d'Aston Villa.
25:33Moi, j'adorais
25:34le foot anglais
25:35pour une raison,
25:36c'est que le foot anglais,
25:37un match n'est jamais fini.
25:38Et à 0-2,
25:39et ça, c'est en championnat,
25:40un match n'est jamais fini.
25:42Et ça, ils ont montré ça
25:42à l'Église.
25:42Est-ce que tu as vu
25:43ces lacunes, par exemple,
25:44le match allé
25:44au retour contre Liverpool
25:45et le match allé
25:46contre Aston Villa ?
25:47Est-ce que tu as vu
25:48ces lacunes-là ?
25:49Moi, je ne les ai pas vues.
25:50Quand l'équipe est concentrée,
25:51qu'elle est vraiment
25:52dans le truc
25:52et qu'ils sont dans la tête,
25:54ils sont là,
25:55moi, je n'ai pas vu
25:55ces erreurs-là.
25:56Je les ai vues
25:57quand ils étaient à 0-2
25:58et ce que disent
25:59un peu les joueurs.
26:00C'est-à-dire que
26:00l'air de rien,
26:01même si tu te dis
26:02non, on ne va pas se relâcher,
26:03tu te relâches.
26:04Et moi, je trouve
26:05que ça vient de ça.
26:06Ils sont capables
26:07de le défensivement
26:08contre Liverpool.
26:08Et les autres
26:08en ont profité.
26:10Ils sont capables
26:11de faire un super match.
26:11Oui, et Liverpool,
26:13ils ont gagné
26:14au tir au but.
26:15Ce n'est pas non plus...
26:16Alors qu'ils ont
26:18honnêtement
26:19dominé Liverpool.
26:20Limite ou relâchement,
26:21Giovanni Castalli,
26:22limite.
26:23C'était incarné
26:24par Stéphane,
26:25mais qui n'est pas
26:25péremptoire,
26:26qui ne s'accroche pas
26:27à son...
26:27On en débat.
26:28Limite ou relâchement
26:29du rallye ?
26:31Non, pour moi,
26:33ce n'est absolument
26:33pas les limites
26:34parce qu'en fait,
26:35il y a quelque chose
26:35depuis le début de la saison
26:36et même quand ils perdaient
26:37au mois de décembre,
26:40de novembre.
26:41En fait, cette équipe,
26:42elle ne pouvait jamais
26:43être prise à défaut
26:43sur le cœur
26:44qu'elle mettait,
26:45l'intensité.
26:45Et ce soir,
26:46ils ont pêché là-dedans.
26:47En fait, ils se sont dénaturés.
26:48Je pense que la base
26:49de cette équipe,
26:49c'est de faire les efforts
26:50tous ensemble.
26:51Effectivement,
26:52je ne suis pas en train
26:52de dire que c'est
26:53la meilleure défense
26:54d'Europe,
26:55mais simplement,
26:56quand cette équipe-là,
26:57elle arrive à faire
26:57toutes les courses ensemble,
26:58à remonter le bloc ensemble,
27:00typiquement,
27:00comme le but
27:01qu'ils ont concédé
27:03par McGuin,
27:04en fait,
27:04elle gomme
27:05ces défauts-là.
27:06Donc, ce soir,
27:07c'est une équipe
27:07qui n'a pas été solidaire
27:08comme elle l'est d'habitude
27:09et ça, c'est une nouveauté
27:11dans la saison parisienne
27:11et j'espère pour eux
27:12que ça va leur servir
27:13de leçon.
27:14Comment comptez-vous
27:15aborder l'Ousse-Enrique
27:15dans quelques minutes,
27:17Giovanni ?
27:19Alors,
27:20ça va être très simple,
27:21je vais dire,
27:22Ousmane Dembele
27:22a déclaré que
27:23vous étiez vu trop beau,
27:25est-ce que vous partagez
27:25l'analyse de votre futur
27:26ballon d'or ?
27:27Je ne mettrai pas
27:28de ballon d'or.
27:30Merci,
27:31c'est bien,
27:31c'est parfait.
27:33Cette situation-là
27:34pour remobiliser
27:36tout le monde.
27:37C'est le match,
27:39la deuxième mi-temps
27:40parfaite,
27:40en plus,
27:41tu te qualifies,
27:41donc ça va,
27:42mais tu es passé
27:43très très près.
27:44Pour moi,
27:44et par rapport à quoi ?
27:45Par rapport à ce que
27:46vient de dire Giovanni,
27:47c'est-à-dire que les mecs
27:47qu'ils ont inconsciemment,
27:49tu ne peux pas faire ça.
27:50Si tu veux la gagner,
27:51tu ne peux pas agir comme ça.
27:53Ok.
27:54On va donner les résultats ?
27:56La calife ou le sénat ?
27:58Sénat ou calife ?
27:59Il gagne ?
28:00Est-ce que c'est Jérôme
28:01associé à Hugo ?
28:02Ah, quand même !
28:04Il y a des gens
28:05qui ont du trembler.
28:06Franchement,
28:0750-50,
28:08ben voilà.
28:09Et on le dit,
28:10ce n'est pas une erreur,
28:11c'est bien,
28:1150-50.