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Amusant
Transcription
00:00Il y a des réformes, mais il y a des réformes, mais il y a des réformes qui appliquent les règles que vous savez.
00:05Au moment où je vous ai dit, il y a des réformes, et il y a des réformes, et il y a des réformes, et il y a des réformes.
00:11Il y a des réformes, mais il y a des réformes, et le Président de la République et le Premier ministre
00:18ont donné des instructions claires pour faire des réformes très structurelles,
00:23pour que les les les tibirs soient des réformes qui vivent toutes les réformes,
00:28les réformes de Mbaye, les réformes de Gantia, les réformes de Kauaï, mais les réformes de l'industrie et le plus en carrière.
00:34Je vous remercie.
00:37Je vous remercie, honorable monsieur le ministre Bito.
00:44Honorable Jacqueline Sagna, vous avez la parole.
00:53Monsieur le Premier ministre,
01:13Monsieur le Président de l'Assemblée nationale,
01:17Monsieur le Premier ministre,
01:19Mesdames, Messieurs les membres du gouvernement
01:21ainsi que vos collaborateurs,
01:24honorables collègues députés Nui Nalen.
01:28Monsieur le Premier ministre,
01:31vous avez lancé le vendredi 21 mars 2025
01:34à Kumpentumda, la région de Tambakunda,
01:38un programme intitulé
01:39Programme d'appui aux acteurs de l'économie sociale et solidaire
01:44ainsi que les coopératives productives et solidaires.
01:49Monsieur le Premier ministre,
01:50vous savez plus que moi,
01:52la formation et la formalisation des coopérateurs
01:56relèvent de la direction régionale du développement rural
01:59d'Air d'Air,
02:01qui lui dépend du ministère de l'Agriculture,
02:04de la Souveraineté alimentaire et de l'élevage.
02:08Monsieur le Premier ministre,
02:10votre ambition est grande.
02:13Créer 10 000 coopératives
02:16de production et solidaire d'ici 2029.
02:19A cet égard,
02:23vous conviendrez avec moi que la mise en œuvre des programmes
02:26demandera suffisamment de moyens,
02:29jumets et matériels,
02:31surtout roulants pour assurer les services de qualité,
02:34formalisation et formation des coopérateurs.
02:38Monsieur le Premier ministre,
02:39mes questions sont les suivantes.
02:42Y a-t-il au niveau du ministère de la microfinance
02:45et de l'économie sociale et solidaire
02:47des services dédiés sur l'ensemble des pôles territoires
02:51pour renforcer les DER d'Air.
02:56Dans trois départements,
02:58je peux citer Zégencho-Sédou,
02:59Sédou et Kolda,
03:01seulement deux agents
03:02sont affectés pour formaliser
03:05et former les coopératives.
03:07Quelles stratégies allez-vous mettre en place
03:11pour assurer un maillage des zones rurales,
03:14des pôles territoires ?
03:17Vous pouvez me dire que c'est ici pour moi,
03:20et vous pouvez vous dire ce que vous avez dit.
03:23Vous avez dit,
03:26depuis une période de la Russie,
03:29le gouvernement a été fait
03:31et a été fait pour les coopératives.
03:34Les coopératives sont ici,
03:35et vous pouvez vous dire.
03:50Je peux vous dire,
03:51parce que les dijo-moi,
03:53ils n'ont pas les coopératives,
03:55mais ils n'ont pas les coopératives.
04:00Ils n'ont pas les coopératives,
04:01mais le Préfère, Mme le Mère,
04:02même si c'est une prétention,
04:03Je vous remercie.
04:14Merci beaucoup, honorable.
04:18Monsieur le Premier ministre, vous avez la parole.
04:21Merci, monsieur le président.
04:22Monsieur le ministre de la Microfinance va répondre à la question.
04:33Monsieur le Premier ministre, honorable député, cher membre du gouvernement, honorable député Jacqueline Sagna,
04:51pour répondre à votre question, je vais d'abord préciser le rôle des coopératives productives solidaires.
05:03Tout d'abord, on n'avait pas en place une véritable approche coopérative.
05:12Les coopératives agricoles, notamment les coopératives agricoles communautaires, relèvent du ministère de l'Agriculture.
05:21Elles sont encadrées dans le cadre de l'OADA.
05:25Mais si vous comprenez le sens véritable de l'économie sociale et solidaire,
05:31c'est une économie qui doit viser à organiser, à structurer l'ensemble des forces productives,
05:40aussi bien à l'échelle individuelle qu'à l'échelle collective, pour pouvoir booster la productivité.
05:47Et je vais continuer un peu en Wolof pour être beaucoup plus clair et permettre à tout le monde de comprendre l'importance de votre question.
05:56Je veux dire, CPSI, coopérative productive solidaire,
06:03ce qui est fait, c'est qu'il y a des groupes qui se trouvent,
06:07que si vous voulez dire, que l'État du Sénégal,
06:11depuis que le président Diomaïdi est venu,
06:15avec le premier ministre Ousmane Tonko,
06:16nous avons donné deux instructions.
06:17Il faut que le gouvernement,
06:22nous déléguer,
06:24vous savez, personne n'est pas en train d'aller à l'économie,
06:26déléguer dès qu'il y a quelqu'un qui a fait,
06:28c'est une co-construction,
06:29pour que le président a donné l'instruction.
06:31Le premier ministre dit,
06:33il veut dire,
06:34il veut dire,
06:35il veut dire qu'il y a un impact.
06:37Il a dit,
06:37il veut dire,
06:39qu'on va aller à l'EFAI,
06:41mais si on va réaliser,
06:42on va faire des choses,
06:43on va faire des choses,
06:44on ne doit pas le faire.
06:46Il veut dire qu'on va faire des choses,
06:48c'est qu'il veut dire qu'on va faire des choses.
06:49C'est ce que nous avons vu,
06:52les coopératives n'ont pas de politique,
06:55je parle sous le contrôle des ministres de l'Agriculture.
06:59Le gouvernement a passé,
07:01pour créer des coopératives,
07:03ou organiser des coopératives.
07:05Ils n'ont pas de laisser les gens,
07:06ils ont organisé leurs coopératives,
07:09et ils ont fait des choses,
07:10ils ont fait des choses en 1960.
07:14parce qu'il y a beaucoup de personnes,
07:16personnellement,
07:17en avant-dernière étude que j'ai fait,
07:19j'ai fait le tour du Sénégal,
07:21où si on a fait des coopératives,
07:23j'ai vu qu'il y a des coopératives,
07:25vous savez,
07:26le président,
07:27vous avez vu les coopératives des jeunes,
07:28mais le président a 70 ans,
07:31et il a toujours été le président de coopérative des jeunes.
07:35Ce qui est important,
07:36c'est qu'il y a des choses qui manquaient
07:39sur les maillons,
07:40c'est qu'il y a des choses qui manquaient l'économie.
07:42Si vous pensez,
07:43je vais prendre un exemple.
07:45L'auto-emploi,
07:46c'est que le gouvernement,
07:48il n'y a pas de politique pour l'auto-emploi.
07:51Parce que,
07:52il n'y a jamais vu,
07:53les États-Unis,
07:54par exemple,
07:55qu'ils ont pris des jeunes,
07:56qui ont pris des écoles,
07:57comme l'ISFAR,
07:59qui ont formé des techniciens agricoles,
08:02ou des NIA.
08:04Il y a des gens qui ont pris des jeunes,
08:06et qui ont créé une coopérative
08:08pour la politique.
08:09Et si on a pris des jeunes,
08:11si on a misé ces jeunes,
08:13on va avoir des chances
08:15de capter des financements
08:17pour réaliser des projets.
08:19Quand on a fait des projets
08:21en tant que des coopérateurs,
08:25on va avoir des possibilités
08:27et les ministères,
08:28sur la chaîne de production,
08:29on va avoir des ouvriers agricoles
08:32et on va faire des produits,
08:33on va les transformer,
08:34et on va démultiplier les employés.
08:36Si on a fait ça,
08:37on va pouvoir les booster,
08:38et on va pouvoir les aider,
08:39et on va pouvoir les aider.
08:41Les coopératives productives solidaires,
08:43ce sont les coopératives solidaires.
08:45Ce qui est important,
08:46c'est qu'il faut faire
08:47avec le ministère de l'Agriculture.
08:52Il y a une convention.
08:53Il y a une convention.
08:54Il y a deux ministères.
08:56Il y a deux ministères.
08:57Il y a deux ministères.
08:58Il y a deux ministères.
08:59c'est avec le ministère de l'Agriculture.
09:02Il y a une économie sociale et solidaire,
09:04il y a une économique qui donne
09:06un visage ,
09:07il y a un sac,
09:08d'abord,
09:09des micro-finances.
09:10Ce qui ont eu deux ministères.
09:12Mais il y a une convention
09:13des gens qui,
09:14de la production,
09:16ont tous les travaux,
09:18on a des enfants,
09:20qui ont des enfants,
09:21qui ont des enfants,
09:22en maintenant.
09:23Le ministère de l'Agriculture
09:25doit être mettre en place
09:28Dans toutes les chaînes de valeur, il y a un mécanisme qui s'appuie à produire des matières brutes pour les récoltes à l'état bruts.
09:41C'est ce qui peut être des boutiques sources.
09:43Le ministère de l'Agriculture n'a pas été fait.
09:45Il y a des élevages, des agriculteurs, des produits, des coopérateurs, des chaînes de production.
09:53Depuis l'accès aux facteurs de production, Mme Jumtouaï, nous l'avons identifié comme des produits sources,
10:00et nous l'avons encadré.
10:03Nous pouvons stocker des produits coopératifs.
10:08Nous pouvons leur donner des matériels et des équipements de stockage.
10:16Dans les boutiques technologiques, nous sommes en transformation des produits.
10:20Nous pouvons le faire avec nous.
10:22Mais nous pouvons le faire avec le cadre de la production agricole.
10:25Parce qu'il y a une transformation avec l'activité qui est connectée à l'agriculture.
10:30Ce n'est qu'il n'y a pas d'agriculture.
10:31Ce n'est qu'il n'y a pas d'agriculture.
10:33Ce n'est qu'il n'y a pas d'agriculture.
10:35Ensuite, en suivant l'évaluation,
10:37nous avons des démembrements à l'intérieur du pays.
10:42Ce n'est qu'il n'y a pas d'agriculture.
10:44Ce n'est qu'il n'y a pas d'agriculture.
10:46Il n'y a pas d'agriculture de l'agriculture.
10:49Je voudrais que l'on met à l'agriculture.
10:51L'expérience actuelle,
10:54il y a une équipe qui va aller au terrain.
10:57Si on a passé la bambine,
10:59on a des groupements.
11:03Ils vont aller vers l'agriculture.
11:05Mais si on les finançait,
11:07les financements sont 1,5 millions d'euros.
11:10Ce qui est un peu plus de 1,5 millions d'euros.
11:11Ce que je le disais,
11:12on n'a pas de l'argent.
11:14Ce qui est ce que je vous ai dit,
11:15vous pouvez vérifier.
11:16On n'a pas de l'argent.
11:17Si on a fait 1,5 millions d'euros,
11:19on a des 800 millions d'euros.
11:22On a fait des questions.
11:23Et cela,
11:25ce qui a manqué l'approche cooperative.
11:29CPS a été un peu plus de 1,5 millions d'euros.
11:35Comment on a structuré la production ?
11:37C'est ce qui a l'approche cooperative.
11:38Mme Dédial Hélène.
11:40Comment on a mis en place des instruments,
11:42les instruments,
11:43les instruments,
11:44les instruments en réseau.
11:45C'est ce qui a été fait.
11:46C'est une coopérative productivale solidaire.
11:49On a eu l'artisanat,
11:50avec le ministre de l'artisanat,
11:52qui a eu une convention avec lui,
11:54les tailleries, les mécanicaires,
11:56les méniers,
11:57les coopératives agricoles.
11:58CPS et les coopératives agricoles,
12:01communautaires.
12:03C'est ce qui a été fait pour tous les corps de métier.
12:06Dès qu'on est dans des locaux,
12:08on peut les prendre.
12:09Dès qu'on est dans des métiers,
12:10il y a des prestations de services.
12:13Par exemple,
12:14il y a des fermetures.
12:17Il y a des fermetures.
12:18Il y a des fermetures,
12:19comme des tracteurs.
12:21Les prestations,
12:22on va les assurer.
12:23Au lieu d'avoir une personne,
12:24il n'y a qu'une seule personne,
12:25il n'y a qu'une personne.
12:26Il y a des fermetures.
12:27Il y a des fermetures.
12:28Il y a des fermetures.
12:29Il y a des fermetures.
12:30Il y a des fermetures.
12:31Il y a des fermetures.
12:32Honorable député Ramatoula Ndome,
12:35vous avez la parole.
12:36Assalamu alaikum wa rahmatoula.
12:51Ermaic Ali KanaakНу .
12:52Ah Dieu,
12:53Natsi Barama,
12:54Mb.M.M.,
12:55Mb.M.M.,
12:55Mb.M.M.,
12:56Mb.M.M.,
13:04Mb.M.,
13:05Mb.M.,
13:06Mb.M.,
13:07Mb.M.M.,
13:08Mb.M.,
13:09Mb.M.,
13:10Acme Dлом Ok很好的.
13:11Mb.M.,
13:12Il faut que le Sénégal soit féliciter.
13:19Monsieur le Premier ministre,
13:22vous pouvez vous dire que le Sénégal a beaucoup de ressources minières.
13:27Il a beaucoup de l'or,
13:30de l'eau,
13:32de l'eau,
13:33de l'eau,
13:34de l'eau,
13:35de l'eau,
13:36de zircon,
13:37de l'eau,
13:39de l'eau,
13:40de l'eau,
13:41de l'eau.
13:43Donc,
13:44Dieu le Président.
13:45Monsieur le Premier ministre,
13:47les Sénégalais,
13:48vous avez dit que les gens ont été évoqués,
13:50vous avez dit que vous avez dit que le gouvernement ne s'est pas évoqués.
13:55Il a dit que le gouvernement a été évoqués depuis 1960.
13:59Le gouvernement a été évoqués
14:01et que les gens ont été évoqués,
14:03il a été évoqués.
14:06Le gouvernement a été évoqués.
14:08Et il a dit que leur deux pays est évoqués,
14:11qu'il a été évoqués,
14:13et que les gens ont été évoqués,
14:14mais depuis maintenant,
14:15le Sénégal a continué d'endetter des pays étrangers.
14:18Monsieur le ministre,
14:19c'est ma question,
14:20Le gouvernement a été évoqués.
14:23Il a dit que le gouvernement a été évoqués pour sortir les Sénégalais de la tête.
14:26C'est ce que j'ai dit, c'est qu'il n'y a pas d'accord.
14:30Il n'y a pas d'accord avec le Sénégal.
14:32Il n'y a pas d'accord avec le gouvernement.
14:35Il n'y a pas d'accord avec le gouvernement.
14:37Il n'y a pas d'accord avec le gouvernement.
14:40C'est ce que j'ai donné ma question.
14:42Assalamu alaikum wa rahmatullah.
14:43Merci.
14:44Merci.
14:45Monsieur le Premier ministre, vous avez la parole.
14:56Je vous remercie pour que la situation est normal,
15:07on ne peut rien faire pour que ce que j'ai besoin
15:12pour les recevoir les finances.
15:15Il n'y a pas d'accord avec le modèle.
15:21Si j'ai réformé ceci,
15:24On ne sait pas que les modèles, ou qu'ils ne savent pas.
15:27Nous avons des modèles qui sont en Sénégal.
15:33C'est-à-dire qu'il y a un régime qui a fait un programme.
15:39Le programme est généralement l'appréciation.
15:44Il faut faire un outil réaliste pour me financer.
15:47Je suis député.
15:50J'ai beaucoup insisté sur le financement de nos politiques de développement.
15:56Parce qu'il n'y a pas besoin d'un mandat.
16:01Il y a des compatriotes.
16:04Si on est un homme, il y a tout.
16:07Mais il n'y a pas besoin d'un homme.
16:12Le premier poste, c'est qu'il y a tout de suite.
16:16Comme on veut dire, il n'y a pas besoin d'un homme.
16:22Il n'y a pas besoin d'un homme.
16:24Il n'y a pas besoin d'un homme.
16:26Il n'y a pas besoin d'un homme.
16:28Il y a quelques rues.
16:30Il y a des rentes.
16:32Des rentes pétrolières, des gazères.
16:34Puisqu'on sait qu'on est des énergies fossiles,
16:38il y a des marques.
16:39Il y a des marques de la fiscalité,
16:42comme le golfe.
16:44Il y a un système fiscal parce qu'on sait que
16:47le gaz est marques.
16:48Mais 99% d'euros, peut-être,
16:51les ressources qui ont des ressources,
16:54c'est la fiscalité.
16:57Il y a des choses aussi.
16:59Il y a deux personnes qui ont des ressources naturelles,
17:02qui ont des ressources naturelles.
17:06Il y a des choses qui ont des ressources naturelles.
17:08Il faut démarrer sa question.
17:11Ensuite,
17:13je suis dit que tout les gens n'ont pas de problème.
17:19C'est-à-dire qu'ils ont des ressources naturelles.
17:21Comment nous avons des ressources naturelles ?
17:23C'est-à-dire qu'ils ont des ressources naturelles,
17:25il y a une question qui nous a dit
17:27Est-ce que l'on a dit que nous avons eu des efforts
17:29de ce qu'ils ont déjà fait envers nous ?
17:31Comme nous avons déjà fait,
17:33nous avons des ressources de l'EUMI.
17:35Qui n'ont pas le mieux,
17:37ou d'un des institutions bancaires,
17:39ou d'autres partenaires internationaux
17:41mais les bilatérales ou les multilatérales m'aideront.
17:44Nous, nous sommes tous,
17:46nous devons faire un programme à l'époque
17:48et nous devons financer notre programme.
17:54Nous devons être souveraineté,
17:56nous devons être d'accord que la souveraineté a un prix.
18:00La souveraineté, je veux dire,
18:02c'est-à-dire que nous devons faire des choses
18:05et que nous devons sortir de notre pays.
18:08Le premier facteur,
18:10c'est que les Sénégalais nous ont familialisé avec l'impôt.
18:14Nous devons faire une réforme fiscale.
18:17Nous travaillons et nous l'arrêtons ici.
18:21Nous devons faire un emploi,
18:25nous devons s'éloigner.
18:26Nous devons le faire.
18:29Le plus grand emploi,
18:31c'est que nous devons faire un emploi
18:33et nous devons tout le faire.
18:35C'est ce qu'on a dit, des taux acceptables, mais un asset élargi.
18:39Et si on est dans le Sénégal, il n'y a pas d'impôts.
18:43Si on a des impôts fonciers,
18:45si on a des impôts fonciers,
18:47si on a des impôts fonciers,
18:49il y avait moins de 10%
18:53des assets immobilières
18:55qui n'a pas d'impôts fonciers au Sénégal normalement.
18:57Il n'y a pas d'impôts fonciers.
18:59Il n'y a pas d'impôts fonciers.
19:01Je suis en train de faire des exonérations que vous connaissez.
19:05Les multinationales ont des exonérations.
19:09On est venus de pomper sur ce sujet et on est disponibles.
19:11Keeps les很iels qui libres de l'impôts,
19:13je suis en train de faire des capacités
19:15et je suis venu à l'Assemblée nationale.
19:17D'ailleurs, je suis venu à l'Assemblée nationale.
19:19Je suis venu ici.
19:21Je suis venu ici.
19:23Je suis venu à l'appeler, je vous laisse pas.
19:25Parce qu'à toi,
19:27l'Assemblée nationale,
19:29Les gens de la fraude et d'administration fiscale ont vu
19:33et vous avez le droit de faire des fraudes et de faire des fraudes.
19:36Il y a des centaines de milliards de dollars.
19:39Tout ce qu'on dit sur les niches fiscales,
19:41et toutes les mauvaises pratiques fiscales, on les régle.
19:44Si on le fait, on va voir que ce qu'on a fait pour 1000,
19:47on va peut-être 2 000 fois.
19:49C'est un autre.
19:50Il y a deux deux.
19:51Je vais vous dire sur notre ressource naturelle.
19:53Je vais vous dire que le FIM a été fait.
19:56On a vu le FIM a été fait pour le FIM.
20:01Il a été fait pour le FIM.
20:04Il a été fait pour la société qui est passée.
20:06Il a été fait pour dire que Dieu a été bénéficié au Sénégal.
20:09Parce que le FIM est venu.
20:10Le FIM est un partenaire.
20:12Ils ont eu des droits en tant qu'étant membre.
20:15Ce qu'ils ont fait est pour les conventions.
20:17Ils ont dit que le FIM a été contribué pour le FIM.
20:23Tout le monde a été fait pour le FIM.
20:24Il a été fait pour les enfants et les enfants.
20:27Donc, nous n'avons pas de faire pour le FIM.
20:29Nous ne pouvons pas vous rembourser.
20:31Puis, nous devons rembourser tout le monde.
20:33Ce qu'on a fait, nous devons nous faire pour tout le monde.
20:37Et ce que nous devons faire pour le FIM,
20:39il y a eu l'effort du Sénégalais.
20:42Et puis, nous devons démbrer.
20:43Mais, nous devons les dépasser pour tous.
20:44Ce qu'on a fait pour le FIM,
20:46parce qu'on ne peut pas le faire pour tout le monde.
20:48Parce que nous devons en faire pour le FIM.
20:49Nous devons en faire pour le FIM.
20:50Nous devons en faire pour ce que le FIM est.
20:52C'est une grandethrenne.
20:53Et là, il y a eu l'essentiel de l'Etat.
20:55L'Etat a été fait pour le FIM l'essentiel en 2018.
20:57sur le dépassement sur les ressources extérieures
21:10qu'on ne sait pas.
21:40Sénégal, il y a or, il y a clinker, il y a argent, phosphate, il y a calcaire, il y a argile, basalte, magandez, les minéraux lourds, le fer, il y a le pétrole, il y a le gaz, il y a le zircon, il y a le djengu, il y a le gaz, il y a le gaz, il y a le gaz, il y a le gaz, il y a le gaz.
21:59Il y a le gaz, il y a le gaz, il y a le gaz.
22:29Il y a le gaz.
22:30Mais ce que nous avons, parce que le gaz, il y a le gaz, il y a l'air, il y a le gaz 2016, il y a le gaz, il y a le gaz.
22:40Sans l'investissement, il y a des multinationalistes, après nous, sans les amortir.
22:4775% que nous sommes à cost oil, il y a 25%, 25% de nous sommes, le Sénégal 15% sa desperate.
22:5525% qu'elle a été 15%, nous allons amortir notre pays.
22:58On a eu l'audit et on a fait des surcoûts sur ce que nous investissons.
23:05Et tout ce n'est pas les prix de transfert.
23:08Vous savez qu'on ne tape pas les façons de faire les bonnettes.
23:11C'est une marge qu'on a fait.
23:13C'est une charge qu'on a fait.
23:15Merci beaucoup.
23:19Honorable Cheikh Ahmed Tidiane Youm, vous avez la parole.
23:28Merci Monsieur le Président.
23:38Chers collègues, Monsieur le Premier ministre, Mesdames, Messieurs les membres du gouvernement.
23:46Je voudrais juste intervenir sur le domaine du Pêche.
23:54J'étais à la rencontre des pêcheurs de la petite côte.
24:04Je suis de la petite côte.
24:08Je suis allé vers eux pour dire davantage ce qu'ils étaient liés à quoi.
24:25J'ai rencontré le Djaraf Badundoye, plus précisément à Bourg.
24:31Et ce qui s'appelle Réoubi, c'est une dame Nying.
24:35Et ceux qui sont les pêcheurs qui connaissent nous.
24:39On a parlé.
24:41Je vous invite à dire.
24:45Ce qu'on a dit.
24:46Je vous invite à rencontrer beaucoup,
24:49et je vous invite à voir.
24:51Ce n'est que j'ai rencontré.
24:53Et ce n'est que je vous invite à dire.
24:55Ce n'est pas la conséquence terrible
24:57au sein de la société au niveau de la petite côte.
25:01En ce qu'on a dit,
25:05ce sont les filets, les monofilaments.
25:21On peut faire un dégradable de l'église.
25:26On peut utiliser le dégradable du dégradable.
25:31Ce n'est pas biodegradable.
25:34Il peut y avoir des problèmes pendant des siècles.
25:37Et plus il peut y avoir des problèmes de rame, il peut y avoir des problèmes.
25:43Il peut y avoir des problèmes, il peut y avoir des problèmes.
25:46Donc ça, c'est le premier problème.
25:49Le deuxième problème est que la saleté est la même chose.
25:53La saleté est la même chose.
25:55Il peut y avoir des usines qui sont dans les rivages.
26:01Il peut y avoir des ménages.
26:03Puisque nous nous déversions des ordures au bord de la mer.
26:09Donc les ruines sont dans les rues.
26:11Et la saleté est la même chose qui doit nous bloquer les croustaches.
26:14Ce qui est une chaîne alimentaire, la saleté est la même chose.
26:18La saleté est la même chose qui doit nous bloquer les croustaches.
26:22Les croustaches sont les croustaches qui ont été croustaches.
26:26Ce qui fait que les croustaches sont les petites.
26:32Si on a dit qu'il n'y a pas d'autres, il n'y a pas d'autres, il n'y a pas d'autres,
26:37mais il n'y a pas d'autres prédateurs, il n'y a pas d'autres, il n'y a pas d'autres.
26:42Donc vous voyez que la chaîne alimentaire est profondément perturbée.
26:47Pourquoi ? Parce qu'il n'y a pas d'autres, il n'y a pas d'autres.
26:52Et une conséquence, je pense que c'est l'immigration clandestine.
26:59Encore une fois, on a investi et on a investi,
27:04en tant que carburant ou en tant que le monde, pendant une semaine, voire même plus, parfois même au moins.
27:10S'il n'y a pas d'autres, on a investi et on a investi et on a investi.
27:16Donc ce qui fait que si on a des allers-retours, qu'on a investi, on a investi.
27:22Nous avons un peu de l'élel, comme nous avons l'élel.
27:25Et donc nous avons un peu de l'élel, les plus souvent.
27:27Nous avons des convoyeurs de l'élel de l'Europe,
27:33en passant par la mer, nous avons une aventure mortifère.
27:39Nous avons un peu de l'élel, le plus souvent nous avons fait.
27:44Donc nous avons un peu de l'élel, si nous avons un peu de l'élel,
27:48nous avons fixé les pêcheurs puisque nous avons une convoyerie.
27:52Les passagers, nous avons le plus souvent, ils viennent à l'intérieur,
27:56voire même parfois de la petite côte, mais nous avons une capacité d'un petit peu.
28:00Et donc, nous avons un peu comme ministre des pêches et des infrastructures maritimes et portières.
28:04Nous avons un peu de l'élel de l'élel, nous avons un peu de l'élel.
28:09Nous avons un peu de l'élel, parce que nous avons un peu de l'élel,
28:15nous avons un peu de l'élel, mais malgré l'interdiction,
28:18les pêcheurs, nous avons un peu de l'élel utilisés,
28:20et ce qui est un peu de l'or sénégalais.
28:22Ce qui est un peu de l'élel, nous avons un peu de l'élel.
28:25Donc, ce qui est un peu de l'élel, je pense que le plus important,
28:30c'est que l'État s'attaque à ces deux fléaux-là,
28:33et permettre de fixer les pêcheurs comme nous avons un peu de l'élel.
28:37Merci beaucoup.
28:38Monsieur le Premier ministre, vous avez la parole.
28:42Oui, madame la ministre des Pêches.
28:44Merci beaucoup.
28:46Voilà, merci beaucoup.
29:02Monsieur le Président de l'Assemblée nationale,
29:05Monsieur le Premier ministre,
29:07Mesdames, Messieurs, chers collègues membres du gouvernement,
29:10Mesdames, Messieurs, les membres de la représentation nationale.
29:14Donc, je me réjouis de cette opportunité qui m'est offerte
29:19pour pouvoir apporter certaines clarifications
29:22relatives, n'est-ce pas, au secteur que je dirige
29:25par la volonté de Son Excellence, Monsieur le Président de la République
29:28et sur proposition de Monsieur le Premier ministre,
29:31qui est un secteur très stratégique, à savoir le secteur des pêches.
29:35Et il faut le dire, c'est un secteur stratégique,
29:39mais un secteur quand même qui est plein de problèmes.
29:42La preuve, quand nous sommes arrivés,
29:45et j'ai eu à faire le diagnostic, n'est-ce pas,
29:48dans un ouvrage que j'ai eu à écrire.
29:50Donc, il y a beaucoup de difficultés,
29:52particulièrement en ce qui concerne la pêche artisanale.
29:56Et par rapport à cela, notre candidat, n'est-ce pas,
30:00à l'élection présidentielle, avait pris un certain nombre d'engagements.
30:04pour renforcer ce secteur, mais surtout engagement pour renforcer,
30:09développer la pêche artisanale.
30:12Et je me réjouis aussi de voir que Monsieur le député,
30:15Chastidiane Youm, a évoqué une question très importante,
30:19à savoir la question des monofilaments.
30:22Les monofilaments, comme on l'a dit,
30:25la recherche scientifique a eu à faire des études là-dessus
30:28et a conclu que ce sont des filets qui sont nocifs à l'environnement marin.
30:33Parce que tout simplement, ce sont des filets, n'est-ce pas,
30:37la matière dont ces filets ont été construits,
30:40cette matière-là est une matière qui n'est pas dégradable.
30:43Donc, ce n'est pas biodégradable.
30:45Et en général, quand ces filets-là sont perdus en mer,
30:49ce qu'on reproche, c'est que ces filets continuent à pêcher.
30:53Donc, et par rapport à cela,
30:56lors de la révision du code de la pêche,
30:59c'est-à-dire le code de 2015,
31:02parce qu'il y avait le code de 1998
31:04qui n'avait pas prévu la question des monofilaments.
31:07Mais le code de 2015 l'a bien prévu
31:09et a noté l'interdiction des filets monofilaments.
31:13Il ne s'agit pas seulement d'interdire l'usage,
31:16mais on interdit et l'usage,
31:18mais également la fabrication, l'exportation des filets monofilaments.
31:22Mais ce qui est arrivé avec ce qu'on a trouvé sur place,
31:27c'est que dans le code de la pêche de 2015,
31:30il y a une disposition,
31:32une disposition qui devait être transitoire,
31:34mais malheureusement auquel on n'a pas donné ce caractère.
31:39Donc, cette disposition-là dit qu'il peut y avoir
31:42une dérogation à l'utilisation de ces filets monofilaments par les pêcheurs.
31:47Et malheureusement, quand on est arrivé,
31:49ce qu'on a découvert, c'est que ce qui devait être une simple dérogation
31:53est resté le principe.
31:54C'est-à-dire que ces filets sont utilisés,
31:56surtout à Saint-Louis, avec les pêcheurs qui font la saine tournante.
32:01Et maintenant, le département, quand je suis arrivé,
32:05il fallait trouver des solutions.
32:07Mais nous ne pouvons pas, de manière brutale,
32:11confisquer ces filets-là.
32:13Parce que nous sommes dans un secteur, quand même,
32:15où nous privilégions le dialogue, où nous privilégions la concertation.
32:19Et ce qu'on a vu, par exemple,
32:22qui peut faire peut-être une digression,
32:23mais qui a une relation avec ce que je vais dire tout à l'heure.
32:26Le gouvernement du Sénégal, depuis quelques années,
32:29subventionne les moteurs hors-bord
32:31pour les pirogues de pêche artisanale.
32:33Moi, quand je suis arrivé,
32:35j'ai pensé que c'était une mauvaise politique.
32:37Parce qu'on ne peut pas, n'est-ce pas,
32:40subventionner comme ça des moteurs.
32:43On peut les subventionner pour des raisons de sécurité.
32:46Ça, on peut le comprendre.
32:47Une pirogue qui a une moteur défaillante,
32:50qu'il faut changer, ça, nous pouvons le comprendre.
32:52Mais quand tu as subventionné de manière aveugle,
32:55de manière irraisonnée,
32:56et que maintenant, les pêcheurs bénéficient de ces moteurs-là,
32:59non pas parce que leur moteur est défaillante,
33:01mais l'utilisent pour construire une autre pirogue.
33:04Madame la ministre,
33:05je vais vous expliquer à Olof pour parler aux pêcheurs.
33:08Oui, oui, d'accord.
33:13Donc, je suis venu à l'heure de tout petit,
33:15qui a l'air de l'église.
33:17De toute façon,
33:19depuis cette députée Cheikh Tijani,
33:21j'ai eu l'opportunité de me expliquer
33:23et je sais même si vous savez,
33:24le secteur du meilleur
33:27est la même chose qui est le joueur.
33:29Et nous avons eu l'impression que cela,
33:30maintenant,
33:31mon question est de nous dire,
33:33que je ne vais pas faire mon filet.
33:35Si vous avez vu des filets,
33:36vous savez,
33:37vous avez vu ce qui est le meilleur ?
33:38Les filets,
33:39vous avez vu des frais,
33:40vous avez vu des frais,
33:41vous avez vu des frais,
33:42vous avez vu des frais,
33:43vous avez vu des frais.
33:44Donc, les filets ne sont pas biodégradables.
33:47En même temps, les filets sont piégés, mais en même temps, les poliers environnementaux.
33:54Quand nous avons modifié la loi de 1998, la Côte de la Pêche,
33:59nous avons une Côte qui date de 2015,
34:03qui a été éterré l'utilisation, l'importation, mais également la fabrication filet monofilamaï.
34:09Mais malheureusement, dans la même Côte d'ici,
34:12nous avons une disposition de dérogation sans préciser la dérogation.
34:20Donc, la dérogation n'est pas obligée.
34:22Aujourd'hui, nous avons vu qu'une simple dérogation, c'est devenu le principe.
34:29Aujourd'hui, les fillets sont utilisés.
34:39Donc, quand nous sommes dans le gouvernement, nous savons que cela n'est pas possible,
34:43mais nous avons privilégié la concertation.
34:45Nous sommes dans le secteur,
34:47dans le secteur que nous savons,
34:49bien que nous appliquons la loi, nous l'appliquons de manière rigoureuse,
34:53parce que nous avons vu le résultat.
34:55Dernièrement, sur le code suivi, contrôle et surveillance,
34:57nous avons vu ce qu'on a raisonné,
34:59nous avons vu ce qu'on a exigé,
35:01nous n'avons pas besoin de faire,
35:03nous n'avons pas besoin de négocier, nous n'avons pas besoin de faire.
35:05Mais aussi, dans le secteur de pêche artisanale,
35:07nous avons privilégié la concertation.
35:09Dans cette concertation, nous avons dit,
35:11que les fillets,
35:12nous n'avons pas besoin d'utiliser,
35:15nous travaillons dans le programme de remplacement de ces fillets-là.
35:19C'est-à-dire,
35:20c'est-à-dire,
35:21c'est-à-dire,
35:22que les moteurs,
35:23depuis quelques années,
35:25le gouvernement du Sénégal,
35:26devait venir décider de faire des moteurs.
35:28C'est-à-dire,
35:29c'était dans le contexte électoral,
35:31pour des raisons politiciennes.
35:33C'est-à-dire,
35:34que les moteurs,
35:36comme calculés,
35:37vous savez ce que nous avons besoin,
35:39vous en avez juste le temps,
35:40vous en avez juste le temps,
35:41ça veut dire que vous avez fait un effort de pêche.
35:43Parce que,
35:44quand vous avez fait un moteur,
35:45vous avez fait un effort de pêche,
35:46vous allez prendre le moteur,
35:47et vous avez fait un effort de pêche,
35:48et vous avez fait un effort de pêche.
35:50Et actuellement,
35:52nous avons une maîtrise sur la flotte de pêche.
35:55D'ailleurs,
35:56nous avons fait une étude de l'ANSD.
35:58Nous,
35:59quand nous avons appris,
36:00le directeur de pêche,
36:01et nous avons fait un effort de pêche.
36:03Et je vous en ai dit,
36:04que je veux maintenant,
36:05le programme,
36:06vous savez,
36:07nous allons prendre,
36:08pour faire un voteur,
36:09pour financer,
36:11le remplacement de filet monofil à maï.
36:13Et actuellement,
36:14nous sommes en train de travailler.
36:15Si nous avons fait,
36:16nous allons prendre les filets,
36:18vous allez prendre une période,
36:20vous allez prendre une période,
36:21vous allez vous mettre aux normes.
36:23Dans cette période,
36:24vous avez le droit,
36:25nous allons prendre les filets,
36:26vous allez remplacer les enfants,
36:27mais dans cette période,
36:28personne n'a pas le filet monofil à maï.
36:30Nous allons venir,
36:31le confisquer.
36:32Parce que la loi permet de nous.
36:33Également aussi,
36:35nous avons dit des déchets au niveau de la mer.
36:37Effectivement,
36:38nous avons fait des déchets,
36:39mais nous avons fait une direction,
36:41la gestion des fonds marins.
36:43Toujours nous avons fait des plages,
36:45et nous avons fait des nettoyages des fonds marins.
36:47Parce que nous avons fait des déchets.
36:49Merci beaucoup.
36:50Merci beaucoup.
36:51Merci beaucoup, Madame la Ministre.
36:54Merci beaucoup.
36:55Nous avons fait des déchets,
36:56la vice-présidente du groupe parlementaire PASTEF,
36:59de Madame Marie-Angélique Mamsel Bédiouf.
37:04Merci beaucoup.
37:05Merci beaucoup.
37:06Merci beaucoup.
37:07Merci beaucoup.
37:08Monsieur le Président.
37:09Monsieur le Premier ministre,
37:11Je vous remercie beaucoup.
37:12Merci beaucoup.
37:32Merci beaucoup, Monsieur le Président.
37:34Monsieur le Premier ministre,
37:36je vous remercie beaucoup.
37:38Je vous remercie de l'ensemble des membres du gouvernement et de mon collègue, député
37:44IFINEC, et de l'assistance d'éviter à l'hôpital.
37:49Monsieur le Premier ministre, les Sénégalais ont été élevés.
37:55Ils ont été élevés, car ils ont été élevés, car ils ont été élevés.
38:00Les Sénégalais ont été élevés à hauteur de 54% par le Président de la République.
38:07On a fait 130 députés qui sont les députés du peuple.
38:17Monsieur le Premier ministre, on a fait un an avec le gouvernement et le président FINEC.
38:25Si un an est à ce moment-là, on a lancé une emprunt obligataire de 105 milliards.
38:33dans l'échéance de l'échéance, vous retrouvez à 405 milliards.
38:39Ce qui est important, c'est que le rapport de confiance a-t-il
38:43avec les Sénégalais.
38:46Parce qu'il y a de l'hôtel,
38:48ce qu'on a fait, c'est ce qu'on a fait.
38:49Il y a un an, c'est ce qu'on a fait.
38:51Mais ce qu'on a fait,
38:54c'est qu'on a fait des Sénégalais,
38:56l'institution budgétivoire,
38:58l'institution de l'hôpital,
38:59l'hôpital, l'hôpital, l'hôpital, l'hôpital,
39:01l'hôpital, l'hôpital, l'hôpital et l'hôpital.
39:05Le rapport de l'accor de PESI
39:07permettrait d'être
39:09à notre échec à la recherche et d'être.
39:13Sur ces années,
39:14pratiquement, dans la génération 2000,
39:16on ne connaît pas le plus de la guerre.
39:18On voit que le plus de la guerre,
39:20on voit que le marché est au marché,
39:22en plus de la valeur,
39:23à l'emploi.
39:24On peut faire des réalisations,
39:25ces raisons de la réalité.
39:29L'autre part,
39:30les Sénégalais ont leur confiance et ont lancé l'emprunt obligataire
39:35pour les Sénégalais qui font leur confiance et qui font leur confiance et qui font leur confiance.
39:42Monsieur le Premier ministre,
39:44ce qui est le moment donné que les Sénégalais vont aller à eux tout le temps,
39:50avec eux et qui font leur confiance.
39:52Ils veulent savoir que la situation économique, sociale, désastreuse
39:57c'est qu'ils font leur confiance et qu'ils font leur confiance.
40:01Le Sénégal, c'est ma guette,
40:03le fond de la feuille,
40:05le secteur,
40:07la vie nationale, les composantes sociales,
40:10l'urgence, il y a beaucoup de formes.
40:12Les Sénégalais veulent savoir,
40:15si un an, ce qu'ils ont dit,
40:16c'est qu'ils ne savent pas,
40:19parce qu'ils ont dit qu'ils ne savent pas.
40:24C'est ce que je voulais savoir.
40:26La nous envisager pour mener face à l'urgence.
40:30En d'autres termes,
40:32la situation économique et sociale désastreuse héritée de l'ancien régime
40:38fait ressortir que le pays, dans tous les secteurs de la vie nationale
40:42et dans toutes les composantes sociales de la population,
40:46fait face à des urgences multiformes, complexes.
40:50Comment envisagez-vous prendre en charge ces urgences?
40:53M. le Premier ministre, nous vous remercions.
40:57Si nous savons,
40:59il y a beaucoup de choses qu'il y a,
41:01dans l'article 92,
41:03nous devons prévoir une fois par mois.
41:07Mais si nous devons réviser le règlement intérieur,
41:11nous devons prévoir la commission.
41:13et nous devons prévoir la commission.
41:15Car si nous devons la commission,
41:16nous devons faire des commissions,
41:18surtout si nous devons faire des écrans.
41:21C'est ce qui est,
41:22nous devons faire la chasse aux images,
41:26nous devons permettre de faire des services de la Sénégalais
41:30et de faire des commissions.
41:33Nous devons faire des travaux techniques,
41:37comme ça, si nous devons venir ici,
41:39nous devons faire des images de Sénégalais,
41:41nous devons savoir ce qu'ils disent.
41:43Nous devons faire des questions.
41:44Nous devons faire des questions correctes.
41:46Je vous remercie.
41:48Merci.
41:52M. le Premier ministre,
41:54je peux vous prendre une carte de l'indice 30.
42:01Merci beaucoup, M. le Président de l'Assemblée nationale,
42:04Honorable députée Marie-Angélique.
42:07La parole est à M. le Président
42:08et M. le Président de l'Assemblée nationale.
42:11Je parle de l'Assemblée nationale.
42:12J'ai une question...
42:13de l'Assemblée nationale.
42:17Une question la question,
42:18c'est la priorité.
42:20L'Assemblée nationale,
42:21nous devons travailler et nous les éligner,
42:23pour redresser la�рашité.
42:24D'abord,
42:25sur le cadre financement de Madame la société,
42:27dans la nation,
42:28car dans la nation,
42:29je n'en ai beaucoup de ressources naturelles.
42:32Au Sénégal,
42:33nous devons aussi une ressource naturelle,
42:35nous devons tout de bons.
42:36mais les négociés n'est qu'on négocier amnés béné d'épreuve à mener les ventes n'est d'auté
42:48le boc des voyants commission d'agma marie angélie d'assuré ce manière plénière nous
42:53d'eau et maragasse monnier commission ligue et de femmes ouais député bob dj valeurs l'honnec
43:00marco de mondes 2017 mon signe aux belles étions il n'a rien de ce gaz vie digante et cosmos
43:08ac bp mon signe et des foules et doux d'illigences y moron d'oeuf boc l'initi taille n'a pas mené au
43:15taille et est une pétrole ce n'est pas ce n'est qu'il y aura mais sénégal modem et non de l'imor ni
43:21il ya d'un encore confronté voir on a eu fini des bâtis wallam n'est qui débat fait le fofo mais
43:29les ressources naturelles n'inco gérer un ninko yaqué ninko signe et à un ami
43:34qui a quand même barul qui réuni mottafim ne d'y avoir n'est qu'il n'y a quidabou
43:38d'après l'eux ambly sénégal à mieux bouddé gèrent n'est qu'on n'y aura géré
43:43de mes frères lundi afrique moron donne parmi les bailleurs du monde dit s'il n'y a
43:48n'y a pas de riz au riz au golf m et de nio boc qui les bailleurs du monde est ce que
43:53n'est amener à ne riz amener à mener bord ou l'a dit obligé fabriquer leur d'être pour
43:58des raisons strictement économique mais en blé naio n'a d'accord parce que
44:03n'y a offert bas à vous le godoi beli l'anial wordse de l'utilité co mais après l'égis
44:09nous avons des ressources naturelles.
44:11Regarde ce qui est le phosphate.
44:13Nous avons beaucoup de choses.
44:16Nous avons exploitées ici.
44:18Le phosphate régle les problèmes de l'agriculture.
44:21Parce que le ministre,
44:22nous avons dit qu'il n'y a pas de moussoul,
44:23qu'il n'y a pas de bateaux engrés.
44:25Mais nous ne devons pas avoir de bateaux engrés ici.
44:27Nous devons gérer notre phosphate.
44:30C'est ce que nous savons.
44:33Ligé, si nous tombons là,
44:35les primatures,
44:36nous devons les matérer.
44:39Si nous devons rater sur nous,
44:40les marchés, si nous prenons les marchés publics,
44:43ce qui est renégocié sur les marchés publics,
44:45dépasse 60 milliards.
44:47Si nous savons que le régime de l'agriculture
44:49avait signé,
44:50il y a une surfacturation,
44:5120 milliards ici, 10 milliards là-bas.
44:54Et nous avons dit que nous avons démontré
44:56que les lycées surfacturées,
44:57nous n'avons pas de l'argent.
44:59D'accord, le surplus,
45:01nous n'avons pas de réorienter.
45:02C'est ce qui est le marché de l'éducation nationale,
45:05enseignement supérieur.
45:06Ce qui est le marché du marché des ressources naturelles.
45:10Imaginez,
45:1120 milliards,
45:12nous avons gagné ça.
45:14Donc, c'est l'un des piliers fondamentaux
45:16de la réappropriation de la souveraineté
45:19sur nos ressources naturelles.
45:20Parce que nous avons un petit phosphate mat,
45:22nous savons comment nous l'exploiter.
45:24Nous ne pouvons pas l'exploiter.
45:25Nous ne pouvons pas l'exploiter.
45:26On veut l'exploiter ici.
45:29Avec nos unités industrielles ici,
45:30nous transformons-nous ici.
45:32Nous avons besoin de l'agriculture,
45:33nous exportons.
45:33C'est ça notre modèle
45:35et c'est pourquoi il est totalement différent
45:37de ce que les gens faisaient.
45:40Maintenant,
45:41on a un besoin de financement.
45:43Nous avons créé une situation
45:45qui a été créée.
45:47Aujourd'hui,
45:47si nous avons accord
45:48avec
45:49le FMI,
45:53si nous avons besoin de financement,
45:55peut-être que l'année dernière,
45:56nous avons à peu près
45:571195 milliards.
45:59Mais il y a un dégressif.
46:01Chaque année,
46:02nous avons un tout.
46:03Peut-être que ce sera
46:04à 498 milliards l'année qui suit,
46:06ainsi de suite.
46:07En 2019,
46:07on sera à 155 milliards.
46:09Ce qui nous a besoin,
46:10c'est ce qui nous a besoin.
46:12Si nous avons besoin,
46:12nous avons besoin.
46:14Vous posez une question
46:15à nous.
46:16Vous avez dit,
46:17nous avons un problème
46:17qui est en Sénégalais
46:18et qui est ici.
46:19Nous avons un problème
46:20et qui nous n'a pas envie
46:20de faire
46:21ce qu'il y a.
46:23Nous avons dit,
46:24nous avons un problème
46:26éthique parce que nous allons
46:28prendre une bonne bonne bonne bonne.
46:30Permettre de nous
46:31obtenir des obligations
46:32qui peut générer d'intérêt.
46:34Tout ça,
46:36le Ministère des Finances
46:37est dans le légué.
46:38Ils doivent faire un montage
46:40parce qu'il y a une soucoute.
46:42C'est un mode de financement
46:43qui est un mode de financement
46:43qui sera un problème
46:44qui est halal.
46:45Il y a des problèmes
46:45qui n'ont pas d'intérêt
46:47ou qui peut être bas ou pas.
46:49Il y a des tasques
46:49adossés
46:50à des infrastructures
46:51et des tasques.
46:52Donc,
46:52nous avons asunté
46:53que les Sénégalais
46:53comprennent
46:54nos enjeux
46:54et nous avons un problème.
46:56On a fait un peu de souveraineté.
46:58Parce que je dis maintenant que la souveraineté est une souveraineté.
47:01Elle est une seule, elle est une seule, mais elle est une seule.
47:05Et elle doit être en train de faire.
47:06C'est ce qui est un piliers qui a été en train de travailler.
47:10Et je dis à tous les Sénégalais qui ont été en train de faire leur état.
47:16Parce qu'ils ont été en train de faire.
47:17Si on a fait un effort sur deux ans,
47:19deux ans, on a fait un effort.
47:22On stabilise les choses.
47:24On a fait un nouveau départ.
47:26On a tiré les leçons des erreurs passées.
47:29Je ne suis pas le temps pour que ce soit tout le temps d'assumer.
47:34On a fait un peu de chiffres.
47:36On a fait que tout le temps d'assumer.
47:38On a fait un peu de chiffres.
47:39On a fait un peu de chiffres.
47:41Il n'y a pas de chiffres.
47:43Il faut tirer les enseignements.
47:45Et on va aller dans notre rythme.
47:46On a fait ce que dans dix ans.
47:48Sonnégal a fait une sorte de dragon de l'Asie.
47:51Nous sommes tous les Sénégal.
47:52On a fait ça.
47:54heu
47:55voilà nous tous aussi le mali les ressources longues ya gré incôteux n'a qu'elle n'y
48:02qu'organiser réorganiser à travers la cdc à travers les différentes caisses bon
48:07mouna travailler sur l'épargne des sénégalais parce qu'un n'y a eu hommé le premier facteur
48:13d'investissement mme du géti et parmi moi ta soudé gétio liam états-unis toujours d'un
48:18fumeu yam saudé gagné bourse vient de tourner l'épargne des américains qui bourre sur
48:25l'année l'aule moins financer l'économie américaine en premier voilà l'invignon
48:30donc l'oling qui ligue et aussi nous n'y ferait pas ce que l'épargne d'abord d'une salle de
48:35côté mais d'où l'eau à l'aide de l'une des potets elle est mérine de la bête mais
48:40épargne bobe sur l'essai d'épargne long d'une adjointe possibilité pour réunir la monnaie
48:45djagnar ni c'est pas un tabou l'union roi tanda ce n'est qu'au part qui m'a
48:52engouillent à deux poulets fini au régime présent d'une n'est pas qu'elle a eu
48:57d'une oreille d'adil radia kip d'un côté qui tant et quotidien mais c'est une option
49:04qui monnaie mwaii mon avis dina sopikou voilà nous j'allons une responsabilité
49:09nous a amené un appel sur nous. Mais je crois que nous sommes dans la direction
49:16qu'on aime. Parce qu'on ne peut continuer, qu'en conseil des ministres, le ministre
49:22de l'économie, de présenter une communication, c'est qu'il n'y a pas d'économie alignée
49:27sur l'économie de l'Union Européenne. Nous n'avons pas d'économie, nous n'avons pas
49:31d'économie, nous n'avons pas d'économie. La corrélation avec la monnaie n'est pas
49:36automatiquement faite. Mais quel est le seul facteur qui nous lie à cette zone-là ? C'est
49:40la monnaie. Il faut qu'on puisse poser des débats avant. Mais la technique, la sérielle,
49:48amener la technologie à l'économie de l'économie, pour vous dire que tous les leviers, tous les
49:55leviers qui doivent nous amener à souverainiser notre financement, nous donner le maximum d'indépendance.
50:02Parce que vous entendez qu'ils avaient un bon bon bon. Il n'y a pas de manquer
50:06de souveraineté. Il n'y a pas de conditionner. Il n'y a pas de mal. Il n'y a pas de manquer
50:12de souveraineté. Mais il ne faut que vous avez la latitude. Le marché est un bon. Il ne faut
50:18pas qu'il n'y a pas de vie. Parce que la dette n'est que de la fiscalité différente, en réalité.
50:24d'être soutenable gardez tout à l'attitude vers le bonheur d'un lit d'un coïsion et
50:34pour qu'on a fait telle réforme telle réforme telle réforme sinon d'une à l'éballe
50:37qu'au moins bordé n'a qu'un pétit se souveraineté comme l'olée et les maillots m sont importants
50:44ensuite nous n'y aura en tant qu'africains et en tant que sénégalais n'y a quitté à
50:52les options stratégiques il y a le choc des grandes puissances il y a ce qu'on appelle
51:02le piège de tissu dite moi à chaque fois qu'une nouvelle puissance djok benne une puissance
51:08n'est ni réagirait par rapport à la puissance bob étudié de moi qui sais ce qu'on a étudié
51:15dans l'histoire de l'humanité les douze d'eux moudillés de guerre tu m'as dit amagoul
51:20n'y a rien à l'économie qui se déclenche parce que amène toutes les options et toutes les tout le
51:36potentiel qu'il faut l'afrique doit être le prochain moteur de l'économie mondiale pendant ses 30 ans ça a été
51:42la chine d'essoufflement afrique si nous régler problème évidemment la stabilité dans les
51:49pays la sécurité l'instabilité politique qu'il y ait un minimum de consensus entre nous c'est
51:55pourquoi j'en appelle à l'opposition parce qu'il n'y a pas matière à poser qui a moulin fut opposé fin
52:01n'y a pas créé une des frères mabine sénégalais l'imphine guise moukouti aura opposé l'église
52:07qu'on a fait ça même si tu y vois ça oui c'est grave etc mais n'y a mort du on nous allons dans le
52:16sens bippe rire moussa de farou yoan bill le diel qu'on l'a moulin qui opposent les deux composent pour la
52:24bonne gouvernance dans les prochains jours on soumettra ici à l'assemblée un certain nombre de
52:29projets de noyau ramener presque parrain le projet de loi pour réformer l'offnac le projet de loi pour
52:38le projet de loi pour les lanceurs d'alerte le projet de loi pour l'accès à l'information parce
52:48que citoyens vous n'est qu'on a accès à l'information qu'est ce que le premier ministre fait qu'est ce que
52:53tel ministre fait qu'est ce que tel directeur général fait le projet de loi pour la déclaration
52:59de patrimoine nous généraliser qu'au boc kép couille aux responsables de public nous hamland a
53:03d'ailleurs mais alors est-ce qu'un des matières à opposition les options idéaux stratégiquement pour
53:11dilater une souveraineté économique est-ce qu'un des matières à opposition qu'on n'y va y filo liep bouge
53:18entraîne le pays dans des débats de personnes à une certaine opposition je dis que la haine ne peut
53:24pas être un moteur politique surtout la haine diriger contre une personne qui vous a rien fait
53:30je les rassure c'est pas les attaques quitte personnelles magie santyalla je suis politiquement
53:38indestructible mort les collègues parce que l'imane est l'imane ya la cote sa you consobe et mon
53:47moco fidin mais d'une île d'une île qu'une voix dit de bouillie d'une île d'une île d'une
53:54d'un outil des bêtes mais qu'on n'y a rambla qui n'y a pas au niveau manqué santiago mais
54:01n'y une réunie-mémoigne s'occuper si on a une opposition républicaine elle n'a qu'à s'opposer de
54:07manière républicaine n'a n'y a qu'à t'imbaimi n'y a qu'ils t'aiment dit mais n'y a qu'ils
54:12n'y a qu'ils ressources naturelles n'y a qu'ils les programmes et les objectifs sur ce terrain nous
54:17sommes ouverts nous sommes ouverts au dialogue nous sommes ouverts au débat contradictoire comme
54:22j'ai le fait ici à l'assemblée mais n'y a qu'à bai vovié entrer le pays vers des délits verbales
54:30vers des règlements de comptes personnels les dossiers judiciaires à mon tienne corps amné
54:36d'un atoll parce que non d'emmener pourquoi dans une campagne électorale il a dit mais la
54:47justice ne fonctionne pas par rapport à ça un juge on lui amène un dossier avec des faits avec des
54:52preuves qu'un moitié au roi qu'un moitié au colonne c'est pas important est ce que les meilleurs dossiers
54:58voici le débat public le débat politique le débat politique il est ce qu'il est l'étudiant pour
55:07compléter toujours madame moi qui contexte bi j'ai parlé tout à l'heure du pays je suis dit à
55:12tirer aux mutants et adnabitolo un nouveau pouvoir est arrivé dans l'une des grandes puissances n'y a
55:18de faux bouger mettre un terme à la globalisation d'addy tech et texte texte t'a guénéné le pays
55:25nomi réagir une acte contexte bohane et les gens sont vont être poussés vers le repli ça c'est une
55:35chance pour des continents comme les nôtres parce que léron d'un fenêtre mounais n'est pas organisé
55:41nous ne sommes pas pour le moment un problème de compétitivité de notre économie c'est pourquoi
55:47l'une de nos priorités moi l'énergie je les dis ici je le répète rio mono industrialiser
55:53mono développé économie tant que tu as une énergie qui court ce qu'elle coûte au sénégal c'est à
55:59dire plus de 100 francs le kilowattheure c'est le plus grand paris et c'est le plus grand des filles
56:04dans les cinq mois et ramener le plus de plus de kilowattheure minimum maximum à 60 francs le
56:10ministre de l'électorale a dit l'autre jour et c'est pourquoi c'est pourquoi nous avons dit ce
56:16n'est qu'un gaz bi mouna n'y a pas de bain ou bien non gaz mais c'est une priorité moi lundi mouna
56:21andy andy mettre toutes nos centrales au gaz faire de nouvelles centrales au gaz je vous ai dit à
56:27l'origine 2050 on a un objectif de 10 000 kilowattheures 10 000 mégawatts on a produit 1800
56:33aujourd'hui imaginer le gap le solaire ne pourra pas tout combler montagne et sonne au lieu du
56:40bisou ni gaz au début du mois d'une priorité l'énergie est une question de sécurité nationale
56:45même et c'est pourquoi en dehors de l'aspect économique il ya l'aspect domestique parce que
56:52dans le budget des ménages l'énergie coûte très cher mot a déniens tue au central west africa
56:58énergie quand je suis arrivé j'ai dit au présent je prends à messeurs de ce dossier parce que moulin
57:04ou pas il un secteur aussi stratégique mener c'est des investissements privés c'est pas des
57:09investissements privés parce que c'est un secteur dont relève la sécurité nationale de le premier
57:16ministre je conclue parce que vous avez pris des minutes tout à l'heure voilà deuxième
57:23deuxièmement c'est un secteur bohame et dans ces projets là c'est fait sous le couvert du contenu
57:32local moment et vente à unité que l'état garantie ni mon moyen de la totalité de la production à
57:38travers la scène avec et pour cela l'état dur et sa garantie souveraine tu as 280 80 milliards
57:44d'investissements l'état dur et sa garde du souverain si la scène avec faillite c'est l'état qui
57:49paye et on me dit que c'est un projet strictement privé et c'est pourquoi on a pris en mai ce dossier
57:54et nous sommes en train de faire ce que nous devons faire avec le bailleur avec la société qui construit
58:01là j'ai reçu tout le monde en a discuté et on va sauver ce projet on va sauver tous les autres
58:06projets c'est une nécessité les d'arrêt de premier nécessité c'est une autre de nos priorités
58:10malheureusement on me dit que le temps est arrivé à terme mais je voulais vous dire simplement que c'est
58:18avec beaucoup de plaisir que le gouvernement tout le gouvernement se représentera ici et
58:23nous espérons que ceux qui écument les plateaux pour dire n'importe quoi oseront venir nous débattre
58:30parce que fila débarque d'une raster ou l'eau ou nous la guérilla parlementaire et du sport
58:35l'étude nordique et le tourneur n'ont pas la molle et merci beaucoup
58:39boki ya guinan qui est à l'audi
58:46balani et petit jeté berré m'a beaucoup dit tout assemblée nationale
58:50oui et salat union d'un coach et communauté lion
58:55et j'ai le droit aussi de la justice qui est le maire de la camara et de la culture
59:06qui est le maire de Moustapha Diop.
59:14Donc j'ai l'habitude de parler de cette conférence,
59:20des présidents mou indiouat calendrier ligué inga rameneur renko amaldi ibc
59:27d'igno connu l'endie sainte d'une grande la séance est levée

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