Marie Mercier, sénatrice Les Républicains de Saône-et-Loire, raconte sa rencontre avec « une jeune fille qui avait réussi le concours d’entrée à Saint-Cyr », qui avait comme rêve de servir au sein de l’armée, mais qui est partie de l’école au bout de quelques mois « à cause de l’état d’esprit qui régnait là-bas, à cause de cette violence sous-jacente vis-à-vis des femmes ». La sénatrice cite notamment une phrase qu’un professeur de droit de Saint-Cyr aurait dit en cours magistral : « Les lois c’est comme les femmes, ça se viole ».
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00:00J'avais été sollicitée par une jeune fille qui avait réussi le concours d'entrée à Saint-Cyr
00:06et qui a quitté Saint-Cyr. Au bout de quelques mois, elle était d'une famille de militaires,
00:12son rêve était de servir et pourquoi elle est partie ? Uniquement à cause de l'état d'esprit
00:17qui régnait là-bas, à cause de cette violence sous-jacente vis-à-vis des femmes.
00:24En cours de droit, le professeur disait « les lois, c'est comme les femmes, ça se viole ».
00:30C'est le genre de phrase qui peut faire beaucoup de mal, qui peut blesser.
00:36C'est quelque chose qui est absolument, évidemment, intolérable.
00:40Comme on en voit dans d'autres corps de métier, on sait très bien que dans la cuisine, etc.,
00:46il y a aussi des phrases aussi assassines.
00:49Je voudrais vraiment dire que la prévention, elle passe par l'ambiance qui est donnée
00:56et que les violences d'élèves à élèves, bien sûr, sont à combattre,
01:00mais le respect qui va être inculqué par les professeurs qui sont en charge de ces élèves est capital.