• l’année dernière
Le président de l'UDI, Hervé Marseille, s'est exprimé sur la ligne du camp présidentiel concernant les désistements de second tour, aux législatives.

Pour suivre toute l'actualité politique et parlementaire, abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/user/publicsenat?sub_confirmation=1


Notre site internet : http://www.publicsenat.fr


▶️ Découvrez l'ensemble de nos replays : https://www.publicsenat.fr/replay


Abonnez-vous à notre newsletter : https://bit.ly/NewslettersPublicSenat


Suivez-nous sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/publicsenat
X : https://twitter.com/publicsenat
Instagram : https://instagram.com/publicsenat
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/2996809/

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Est-ce que certains cadres du camp présidentiel comme Édouard Philippe ou encore Bruno Le Maire ont raison d'exclure les Insoumis et leurs électeurs de ce fonds républicain pour faire barrage au Rassemblement national ?
00:11Alors même que Emmanuel Macron a eu besoin des électeurs Insoumis pour gagner les deux dernières présidentielles.
00:16Je crois qu'il faut essayer de mettre un peu d'ordre dans tout ça.
00:22Effectivement, je crois que le but cette semaine, c'est d'empêcher le Rassemblement national d'avoir une majorité absolue le 8 juillet.
00:35Les électeurs se sont exprimés. Nombreux. On ne peut pas dire que ce vote n'est pas de sens, puisque quand on voit la force du vote, il est ce qu'il est, mais il y a une signification.
00:48Les Français ont voulu s'exprimer. Alors ce n'est pas parce qu'il va y avoir des désistements, des prises de position que face à cette colère, à cette force, on peut essayer de retourner les choses.
01:01Donc je crois que les prises de position hier, elles vont dans la majorité dans le même sens, c'est-à-dire d'éviter qu'il y ait une majorité absolue du Rassemblement national à la fin de la semaine.
01:15Et pour ça, il faut maintenir des candidats quand ils sont en seconde position et qu'ils ont capacité à rassembler. Il y en a plusieurs centaines.
01:24Il y a des retraits lorsque les gens sont en troisième position et qu'ils peuvent choisir celui qui est le mieux placé ou celle qui est le mieux placée pour faire barrage.
01:36Donc vous, vous demandez des retraits face, par exemple, à un insoumis qui serait dans un duel avec un candidat RN ?
01:42Ça dépend. Je crois que c'est, comme l'a dit Mme Carroix tout à l'heure, il y a 577 élections, il y a eu 4 011 candidats. Les Français se sont exprimés.
01:53Il faut regarder cas par cas qui est qui. Je crois que le président de la République a dit qu'il fallait être autour des candidats clairement démocrates et républicains.
02:01Donc au cas par cas.
02:02Il faut regarder le parcours de chacun.
02:04En tout cas, le parti LR avec qui vous êtes allié ici au Sénat, lui ne veut pas donner de consignes de vote, pas de choix.
02:10Je le regrette.
02:11Le camp présidentiel, le RN ou la gauche, qu'en pensez-vous ? Est-ce que c'est digne de cette droite gaulliste héritée de Jacques Chirac ?
02:17Chacun prend ses responsabilités. Moi, j'ai soutenu dans mon département des candidats républicains.
02:24Ils vont, pour certains, être élus grâce à l'alliance que nous avons faite avec Philippe Juvin, Gabriel Attal, le président du département, Georges Siffredi.
02:35Et cet arc républicain rencontre le succès. Il faut être très clair. C'est ce que demandent les électeurs.

Recommandations