L'Orchestre philharmonique de Marseille répète ses gammes au Pharo avant l'arrivée du Belem
- il y a 12 jours
La consigne a été donnée aux 70 musiciens de l’Orchestre philharmonique de Marseille, réunis en plein air devant le public, au Pharo, que le timing se jouera à la minute près.
En effet, l’entrée du Belem à 19h28 précisément - si le vent ne perturbe pas sa progression - doit marquer le lancement de l’hymne officiel des J.O., alors que la Ve symphonie de Beethoven est prévue pour 18h04 précisément, d’après plusieurs musiciens, dont le premier violon Da Min Kim, “marseillais d’adoption” depuis 11 ans.
A contrario, le jeune chef d’orchestre franco-bolivien Marc Leroy Calatayud, présenté comme l’un des prodiges de la musique classique, est pour la première fois à Marseille à l’occasion de l’arrivée de la flamme. “La Ve symphonie que nous allons interpréter tous ensemble est une allégorie de l’esprit sportif. Ses premières notes en do mineur, légèrement oppressantes, finissent en do majeur, bien plus lumineux, comme un triomphe. Je me retrouve complètement dans cette partition, parce que je suis moi même un grand sportif, fan d’alpinisme et de judo", confie t-il dans un grand sourire qui présage un très beau concert, devant lequel le parterre de spectateurs couvre peu à peu le parc alors que la première note se fera entendre dans quelques minutes.
En effet, l’entrée du Belem à 19h28 précisément - si le vent ne perturbe pas sa progression - doit marquer le lancement de l’hymne officiel des J.O., alors que la Ve symphonie de Beethoven est prévue pour 18h04 précisément, d’après plusieurs musiciens, dont le premier violon Da Min Kim, “marseillais d’adoption” depuis 11 ans.
A contrario, le jeune chef d’orchestre franco-bolivien Marc Leroy Calatayud, présenté comme l’un des prodiges de la musique classique, est pour la première fois à Marseille à l’occasion de l’arrivée de la flamme. “La Ve symphonie que nous allons interpréter tous ensemble est une allégorie de l’esprit sportif. Ses premières notes en do mineur, légèrement oppressantes, finissent en do majeur, bien plus lumineux, comme un triomphe. Je me retrouve complètement dans cette partition, parce que je suis moi même un grand sportif, fan d’alpinisme et de judo", confie t-il dans un grand sourire qui présage un très beau concert, devant lequel le parterre de spectateurs couvre peu à peu le parc alors que la première note se fera entendre dans quelques minutes.