un an chez les wokisme,avec assentiment du #bipolairemeprisantmaconantifrance, et son gouvernementLGBT, racistes

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00:00 - C'est une plongée dans un monde parallèle qui est plutôt inquiétant et c'est donc dans ce monde que cette journaliste du coin s'est plongée.
00:11 - Et comment elle s'est plongée ?
00:13 - Elle s'est inscrite à la fac, à la fac de socios, il faut croire que c'est un bon vivier en la matière, et puis de là elle a ensuite suivi par la fac des groupes de parole,
00:21 - Elle a aussi participé à des manifs quand elle n'en a pas organisé via ses associations au sein des forces de sécurité, des services de sécurité de ses assos,
00:31 - Et vous allez voir c'est assez intéressant. Son témoignage est aussi édifiant car en fait il démontre dans le fond que ces militants au nom du progressisme,
00:41 - Au nom d'ouverture à l'autre, pour ne pas parler d'altruisme, créent en fait une dynamique de rejet de l'autre.
00:47 - C'est réellement le rejet de quiconque ne pense pas comme eux, et ça c'est vraiment systématique, ça s'appelle aussi un fascisme bien pensant,
00:55 - Et c'est au nom de l'inclusivité encore une fois qu'ils défendent totalement l'inverse.
01:00 - Vous avez des exemples ?
01:02 - Oui même deux si vous voulez.
01:04 - Nora Bussini, cette journaliste, alias Noli pour les besoins de l'enquête, elle raconte par exemple comment la fac abrite des réunions non mixtes,
01:13 - C'est à dire que...
01:15 - Ça c'est vrai c'est connu.
01:17 - ... interdit aux hommes cisgenrés, alors c'est des hommes qui sont nés hommes et qui ont eu le mauvais goût de le rester, si vous voyez ce que je veux dire.
01:24 - Alors dans l'idéologie de ces militantes, de telles réunions censées lutter contre le sexisme ne peuvent pas être mixtes, pourquoi ?
01:31 - Parce qu'il faut créer les conditions du "safe space", c'est une notion anglo-saxonne, c'est à dire un lieu sécurisé,
01:39 - Un lieu qui garantit l'entre-soi, qui garantit la non-agression intellectuelle si vous voulez, une sorte de vase clos,
01:45 - Où là vous êtes sûr de ne pas être contredit, en somme c'est un débat nord-coréen plus grave,
01:51 - Le moquisme étant aussi la non-mixité à la race, c'est à dire que beaucoup de ces réunions dont nous parle cette journaliste du point,
01:59 - sont fermées, sont interdites aux blancs. Et cette interdiction on la retrouve également dans les manifs qu'ils organisent,
02:07 - puisque c'est l'autre exemple que j'allais vous donner, quand elle est dans ces services d'ordre d'associations militantes,
02:14 - Elle a notamment à gérer la "Pride radical 2022" qui a rassemblé dans les rues de Paris plusieurs associations et leurs semblables,
02:24 - Et elle, elle a été chargée de faire quoi ? Elle a dû faire le tri, mais le tri de quoi ?
02:28 - Elle a dû faire le tri des manifestants en fonction de leur couleur de peau, c'est à dire que dans les cortèges,
02:34 - sous les bannières de leurs associations diverses, de leurs faites de sociaux,
02:38 - Tout simplement les blancs étaient exclus de ce cortège là, ces associations se battent uniquement et avec des gens racisés,
02:47 - Les gens racisés ce sont des gens qui ont la peau plus foncée que d'autres, ce sont des noirs, ce sont des arabes, ce sont des métisses.
02:55 - Ce qui est intéressant et témoignage de Noli nous montre, c'est que de cette métisse,
03:00 - Des couples ont eu concurrence des victimes qui peut s'avérer un peu cocasse.
03:05 - Ainsi durant cette fameuse manif de la "Pride radical 2022",
03:09 - Il y a un couple d'hommes homosexuels qui veut se joindre au cortège qui a l'air super sympa de ces faceux,
03:18 - Un petit peu aussi le principe de base de la "Pride", je m'avance peut-être à priori.
03:23 - Donc ce couple arrive et puis on leur interdit l'accès au cortège.
03:28 - Pas parce qu'ils sont gays mais parce que l'un des deux est blanc.
03:31 - En revanche l'autre c'est un maghrébin et on lui dit "non tu peux venir mais pas ton copain".
03:35 - Effectivement pour avoir lu l'extrait, lui-même ne comprend pas les termes qui sont utilisés et ce qu'on lui reproche.
03:42 - C'est à dire qu'il s'agit d'un roux qui a un drapeau.
03:46 - Alors ça c'est encore une autre histoire.
03:47 - Ah ça c'est encore une autre histoire ?
03:48 - C'est encore une histoire dans la même manif.
03:49 - Oui je suis tombé des nues lorsque ce type de roux demande où est-ce que je me mets.
03:56 - Il est assez sympathique d'ailleurs, il ne se révolte pas, il est avec son drapeau LGBT.
04:01 - Et il explique "mais qu'est-ce que je fais ? Non je ne suis pas racisé mais racisé ça veut dire quoi ?"
04:06 - Et visiblement on lui explique ensuite "vous êtes des personnes, ne se révolte pas".
04:10 - Mais en fait c'est ça aussi qui est un...
04:12 - Les français sont des vaux.
04:13 - ... qui ne se révolte quasiment pas, voire pas du tout.
04:15 - En gros parce que c'est pour la bonne cause, ça me fait un peu penser à...
04:20 - C'est parce que c'est pour la bonne cause on accepte d'être sacrifié.
04:23 - Ça me fait penser à ces fusillés du goulag qui crient "listaline" vous voyez.
04:27 - Il y a un tel bourrage de crâne, pour ne pas dire même lavage de cerveau en fait,
04:32 - que les petits blancs qui militent aux côtés de leurs copains racisés,
04:35 - ils acceptent d'être humiliés, ils acceptent d'être mis de côté,
04:39 - ils acceptent d'être exclus de ces initiatives,
04:41 - parce que pour eux c'est un noble combat, ce combat contre les blancs.
04:46 - Pourquoi ? Parce que ces personnes ont intériorisé la culpabilité,
04:51 - la lourde culpabilité que le loukisme veut nous faire porter sur nos épaules.
04:56 - C'est quoi ? C'est une expiation éternelle au nom de l'esclavage, au nom des colonies.
05:02 - C'est une culpabilité que nous portons en héritage,
05:04 - et que nous devrions donc transmettre à nos enfants.
05:07 - En miroir de ça, il y a quoi ?
05:09 - Il y a ces personnes qui se définissent comme racisées,
05:12 - elles ne sont rien d'autre que des victimes éternelles,
05:15 - elles aussi des victimes perpétuelles.
05:17 - Et aujourd'hui, qui sont leurs bourreaux ?
05:19 - Ben c'est la police.
05:20 - La police tue, personne n'aime la police, etc.
05:24 - Il devrait venir au centre de la formation chou, parce qu'il y en a une, c'est une blanche.
05:28 - Ah oui mais les blancs, ils avaient commis des meurtres, c'est ça.
05:32 - C'est ça, c'est le wokissime.
05:33 - Elle déteste les blancs. Elle est blanche.
05:35 - Ben ils ont été une bonne copine alors.
05:37 - Ah, je ne peux pas lui raconter, j'ai pas l'intention de lui raconter.
05:41 - Mais je ne te dis rien, Florence, vous êtes blanche.
05:49 - Je veux juste que tu comprennes.
05:51 - Ben oui, ça fait partie de Macron.
06:15 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:17 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:19 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:21 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:23 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:25 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:27 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:29 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:31 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:33 - Il est un peu comme un chien, il est un peu comme un chien.
06:35 - Les autres en France oseraient organiser des marches au flambeau la nuit. La référence est pourtant sévèrement connotée.
06:41 - La LFI qui le fait, qui taxe de la réforme des retraites, ces gens si vous voulez qui taxent de fachos, de fascistes,
06:47 - systématiquement quiconque n'est pas d'accord avec eux à la ligne près, utilise tous les codes des dictatures du XXe siècle
06:55 - et tout ça dans une indifférence absolue. Quiconque d'autre jouerait avec le même symbole finirait devant les tribunaux
07:01 - et s'attirait avec une amende.
07:03 - Et définir enfin un individu par son origine ethnique, diviser, subdiviser l'humanité en catégories de plus en plus spécifiques,
07:11 - on le voit avec les spécificités et orientations sexuelles, tout ça ne fait qu'opposer les gens les uns aux autres
07:18 - et ça va à l'encontre évidemment de l'universalisme français, tout simplement, ça genderme.
07:24 - Mais en 2015, cela révèle pour vous un esprit de petitesse.
07:29 - Esprit de petitesse, c'est une belle expression qui n'est pas de moi, qui est d'un grand écrivain méconnu en France,
07:35 - qui s'appelle Bruno Schulz, c'était un polonais, un juif polonais, assassiné par les nazis,
07:40 - et il écrit en 1935, et je conclue sur cette courte citation,
07:44 - "Il y a un esprit de petitesse qui attaque, creuse, brise, fracasse, désagrège, sape le rocher de la grandeur,
07:52 - c'est le travail incessant, fébrile, souterrain de la petitesse."
07:57 On voit la discussion, c'est vrai que...
07:59 On les voit.

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