Après l'échec du recrutement du numéro 6 voulu par Laurent Blanc, Jean-Michel Aulas, le président lyonnais, a mis une pierre dans le jardin de son actionnaire et propriétaire, John Textor, qui aurait fait perdre du temps et des pistes en poursuivant Joao Gomes au Brésil.
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00:00 À l'époque, le coach nous demandait, et je réponds par avance à un certain nombre
00:06 de remarques qui ont été faites, il souhaitait essentiellement avoir un défenseur central
00:13 et c'est vrai que quand on lui a présenté Dejan, il n'a pas hésité une seconde et
00:17 on a pu avancer, on y reviendra tout à l'heure.
00:20 Et puis, par la suite, il s'est rendu compte qu'il avait un certain nombre de besoins
00:25 complémentaires.
00:26 D'abord d'un numéro 6, je vais vous expliquer pourquoi les choses n'ont pas pu se faire
00:32 comme on l'aurait souhaité.
00:33 Et puis, comme au travers des décisions que nous avions prises, on a renouvelé pas mal
00:41 le secteur offensif, il nous fallait deux attaquants aux qualités certaines et c'est
00:49 la raison pour laquelle Bruno et ses équipes se sont mis sur la recherche des deux attaquants
00:55 En ce qui concerne Amine, vous lui poserez toutes les questions nécessaires parce qu'il
01:03 était identifié déjà dans les radars de Bruno depuis quelques temps.
01:09 Et quant à Géphigno qui est là, vous le savez, nous avons beaucoup discuté avec John
01:16 Textor et Bottafogo depuis qu'il est arrivé et donc les choses se sont faites comme ça.
01:21 Alors pourquoi le numéro 6, les choses ne sont pas faites ?
01:25 On avait, Bruno avait pris un certain nombre de contacts qui étaient sur le point d'aboutir
01:29 quand on nous a proposé de repartir sur une solution brésilienne avec João.
01:38 Bon, il avait d'ailleurs déjà donné son accord et ça s'est confirmé comme ça en
01:44 fait à un club anglais.
01:46 Contrairement à ce qui a été dit, voilà, on était en temps et en heure, les choses
01:53 se seraient faites normalement, on a laissé la priorité de l'information à notre actionnaire
01:58 John Textor.
01:59 Bruno est même allé au Brésil pour discuter avec le joueur spécifiquement.
02:06 Et comme les choses ne sont pas faites, évidemment ceux qui étaient pressentis ont plus ou moins
02:13 vécu bien les choses et c'est pour ça que les choses ne sont pas faites.
02:16 Bon, je passe sur le dernier épisode, quand Vincent sera là, il vous expliquera en détail.
02:21 Bon, c'est vrai que le club espagnol du Rio...
02:27 Valcano, voilà.
02:30 Non mais je ne sais plus si c'était Valécano ou Valcano.
02:33 Valécano, voilà, c'est bon, d'accord.
02:37 Bon, a pas joué le jeu, évidemment, bon, vous le savez.
02:41 Et donc c'est pour ça que les choses en sont restées à ce niveau-là.
02:46 Voilà la genèse de l'arrivée des trois joueurs qui sont devant vous.