Par chez nous
Dans la vie par chez nous, des grattes ciel aux égouts
De la rue à chez vous, on vit dans un monde de fou!
Tout nous est taxé, la violence dans les quartiers,
Le luxe pour les prisonniers et les clochards qu’on laisse crever..
Marre de se laisser faire,
De vivre vers l’arrière, que notre chef soit Lucifer.
Ils parlent d’avancer, que le malheur sera renié,
Que le cancer dans nos foyers sera perdu à tout jamais.
Mais ils trichent, on n’a que le droit d’voter
Les bulletins sont trafiqués et les lois nous sont imposées
Ils nous promettent monts et merveilles, nous bercent dans un sommeil
Mais dans nos rêves qui nous réveillent ces vieilles phrases sont toujours les mêmes!
Autant d’gendarmes en campagne que de police en ville
La délinquance en cadence, pauvre France.
Tu as le droit de bosser pour enrichir les caisses,
Pour financer les guerres et t’offrir un 14 Juillet.
On a toujours tendance à s’plaindre alors qu’il y a pire à côté
Mais comment veux-tu te taire face à ton inégalité
Regarde c’que gagnent nos gouverneurs juste à nous prendre pour des cons
Toi tu y laisse toute ta sueur et tout ce pour pas un rond
Avant on travaillait pour vivre, maintenant on vit pour travailler
La vie ne nous fait plus rire, on reste chacun de son côté
Tout augmente, les payes n’ont pas évoluées
Ton compte bancaire te hante car sans lui tu n’peux plus bouffer
Toutes les portes où tu toques, quémandes un job contre billets
Si c’est l’usine, ils sont d’accord, sinon la porte faut la r’fermer
La répression, la régression, l’inflation, manipulation
L’imposition et des moutons, c’est tout c’qu’ils veulent de toute façon
Cessons d’avoir peur et sortons dans les rues
Mettons-y tout notre cœur car ce labeur est notre issue
C’est bien beau de parler, de gueuler mais faut agir
Regardons nos marmots, p’t’être que ça nous f’ra réfléchir
600 000 force de l’ordre, 60 000 000 de notre côté
Après ces mots dites-moi c’qu’il vous faut pour vous motiver
Nous ne sommes que des esclaves, heureusement qu’officieux,
Mais l’jour où ce sera officiel on s’retrouvera comme nos aïeux
La police sera milice si c’n’est presque déjà le cas
Ton avocat sera FAMAS ou au meilleur un sparadrap
Tu n’auras plus à prier Dieu car le seul qui jugera de mort
Ne sera qu’le dictateur, celui que t’as laissé à tort.
Dans la vie par chez nous, des grattes ciel aux égouts
De la rue à chez vous, on vit dans un monde de fou!
Tout nous est taxé, la violence dans les quartiers,
Le luxe pour les prisonniers et les clochards qu’on laisse crever..
Marre de se laisser faire,
De vivre vers l’arrière, que notre chef soit Lucifer.
Ils parlent d’avancer, que le malheur sera renié,
Que le cancer dans nos foyers sera perdu à tout jamais.
Mais ils trichent, on n’a que le droit d’voter
Les bulletins sont trafiqués et les lois nous sont imposées
Ils nous promettent monts et merveilles, nous bercent dans un sommeil
Mais dans nos rêves qui nous réveillent ces vieilles phrases sont toujours les mêmes!
Autant d’gendarmes en campagne que de police en ville
La délinquance en cadence, pauvre France.
Tu as le droit de bosser pour enrichir les caisses,
Pour financer les guerres et t’offrir un 14 Juillet.
On a toujours tendance à s’plaindre alors qu’il y a pire à côté
Mais comment veux-tu te taire face à ton inégalité
Regarde c’que gagnent nos gouverneurs juste à nous prendre pour des cons
Toi tu y laisse toute ta sueur et tout ce pour pas un rond
Avant on travaillait pour vivre, maintenant on vit pour travailler
La vie ne nous fait plus rire, on reste chacun de son côté
Tout augmente, les payes n’ont pas évoluées
Ton compte bancaire te hante car sans lui tu n’peux plus bouffer
Toutes les portes où tu toques, quémandes un job contre billets
Si c’est l’usine, ils sont d’accord, sinon la porte faut la r’fermer
La répression, la régression, l’inflation, manipulation
L’imposition et des moutons, c’est tout c’qu’ils veulent de toute façon
Cessons d’avoir peur et sortons dans les rues
Mettons-y tout notre cœur car ce labeur est notre issue
C’est bien beau de parler, de gueuler mais faut agir
Regardons nos marmots, p’t’être que ça nous f’ra réfléchir
600 000 force de l’ordre, 60 000 000 de notre côté
Après ces mots dites-moi c’qu’il vous faut pour vous motiver
Nous ne sommes que des esclaves, heureusement qu’officieux,
Mais l’jour où ce sera officiel on s’retrouvera comme nos aïeux
La police sera milice si c’n’est presque déjà le cas
Ton avocat sera FAMAS ou au meilleur un sparadrap
Tu n’auras plus à prier Dieu car le seul qui jugera de mort
Ne sera qu’le dictateur, celui que t’as laissé à tort.
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