Les Deux chevaux de Gengis Khan

  • il y a 8 ans
Une promesse, une ancienne vièle à tête de cheval détruite et une chanson qu'on croyait perdue conduisent la chanteuse Urna à retourner en Mongolie. Sa grand-mère a été forcée de détruire son cher violon au cours de la tumultueuse révolution culturelle chinoise. L'ancien chant des Mongols, « Les deux chevaux de Gengis Khan », a été gravé sur le manche du violon. Seul le manche et la tête du violon ont survécu à la tempête culturelle. Désormais il est temps d'honorer la promesse faite par Urna à sa grand-mère.Arrivée à Ulaanbaatar, Urna apporte les parties encore intactes de la vièle - la tête et le manche - à Hicheengui, un célèbre fabricant de vièles à tête de cheval, qui va construire un nouveau corps pour le vieil instrument dans les semaines suivantes. Puis, Urna part à la recherche de ce qu'il y avait à l'intérieur, pour trouver les vers manquants de la chanson. Mais elle sera déçue. Aucune des personnes qu'elle rencontre sur le chemin ne semble connaître encore la vieille mélodie