Lawrence d'Arabie - Vers Damas
- il y a 17 ans
Film anglais de David Lean (1962) VF. Titre original : « Lawrence of Arabia ». Scénario : Robert Bolt, d’après le roman de Thomas Edward Lawrence « Les Sept Piliers de la Sagesse ». Musique: Maurice Jarre.
Superproduction tournée dans les décors grandioses du sud marocain et qui a obtenu sept oscars à Hollywood, un record.
La vie romancée de T. E. Lawrence, officier anglais idéaliste qui rêvait d’unifier les tribus bédouines en une nation arabe, au début du XXème siècle, en les affranchissant de la domination turque. Si Lawrence profita des offensives antiturques de la Première Guerre mondiale, sa cause se dilua dans les accords de l’après-guerre, qui partageaient le Moyen-Orient en deux zones d’influence, l’une française, l’autre britannique. Lawrence, désabusé, rentra en Angleterre et se tua dans un accident de moto, le 19 mai 1935.
Les Anglais raffolent de la légende de leurs grands condottiere moyen-orientaux, Lawrence, Gordon, Kitchener, Glubb Pacha… Peter O’Toole présente un personnage tourmenté, névrotique, et au charisme sans doute exagéré. Le vrai Lawrence, petit et plutôt laid, aurait apprécié cette interprétation, qui avantage quelque peu le personnage.
Lawrence décide le commandant en chef britannique du Caire, le général Allenby (Jack Hawkins), à lui accorder son appui pour marcher sur Damas, où il compte unifier les tribus arabes, ce qui s’avèrera illusoire. Aouda (Anthony Quinn) et Chérif Ali (Omar Sharif) le suivent dans cette campagne, sous l'objectif du journaliste américain Jackson Bentley (Arthur Kennedy).
[JE ME SUIS RESOLU A SUPPRIMER LES COMMENTAIRES POUR LES QUATRE VIDEOS «LAWRENCE D’ARABIE». IL S’AGISSAIT DE METTRE EN LIGNE DES SEQUENCES D’UN GRAND FILM, A L’INTERET HISTORIQUE CERTAIN, ET NON DE SUSCITER LES COMMENTAIRES HAINEUX DE FANATIQUES MOYENAGEUX.]
Superproduction tournée dans les décors grandioses du sud marocain et qui a obtenu sept oscars à Hollywood, un record.
La vie romancée de T. E. Lawrence, officier anglais idéaliste qui rêvait d’unifier les tribus bédouines en une nation arabe, au début du XXème siècle, en les affranchissant de la domination turque. Si Lawrence profita des offensives antiturques de la Première Guerre mondiale, sa cause se dilua dans les accords de l’après-guerre, qui partageaient le Moyen-Orient en deux zones d’influence, l’une française, l’autre britannique. Lawrence, désabusé, rentra en Angleterre et se tua dans un accident de moto, le 19 mai 1935.
Les Anglais raffolent de la légende de leurs grands condottiere moyen-orientaux, Lawrence, Gordon, Kitchener, Glubb Pacha… Peter O’Toole présente un personnage tourmenté, névrotique, et au charisme sans doute exagéré. Le vrai Lawrence, petit et plutôt laid, aurait apprécié cette interprétation, qui avantage quelque peu le personnage.
Lawrence décide le commandant en chef britannique du Caire, le général Allenby (Jack Hawkins), à lui accorder son appui pour marcher sur Damas, où il compte unifier les tribus arabes, ce qui s’avèrera illusoire. Aouda (Anthony Quinn) et Chérif Ali (Omar Sharif) le suivent dans cette campagne, sous l'objectif du journaliste américain Jackson Bentley (Arthur Kennedy).
[JE ME SUIS RESOLU A SUPPRIMER LES COMMENTAIRES POUR LES QUATRE VIDEOS «LAWRENCE D’ARABIE». IL S’AGISSAIT DE METTRE EN LIGNE DES SEQUENCES D’UN GRAND FILM, A L’INTERET HISTORIQUE CERTAIN, ET NON DE SUSCITER LES COMMENTAIRES HAINEUX DE FANATIQUES MOYENAGEUX.]