Trudeau-Legault: Enterrer la hache de la guerre
- l’année dernière
#trudeaulegaultenterrer #hacheguerrero #trudeaulegaultenterrer #hacheguerrera
https://gotopnews.com/post/1170889
C'est fou ce que quatre années peuvent faire en politique. Fraîchement élu en 2018, face à un Justin Trudeau qui aurait plié quatre pour gagner ses faveurs, François Legault a ardé le torse et a serré le pied dans ses bras. Nous voici en 2022, et confrontés à un Justin Trudeau qui assume pleinement son côté centralisé et sa vision d'un Canada post-national, maintenant François Legault est plus posé, voire modéré. Terminé le moment où leurs relations ont été réduites à une confrontation idéologique. Ils ont appris qu'ils sont condamnés à trouver des motifs de compréhension, du moins à court terme. Patience en santé Une fois que la chemise a réglé "sans conditions", il est maintenant clair qu'il n'y aura pas de chèque blanc.ottawa a trop souvent joué dans ce film. Ce que nous comprenons, cependant, c'est que contrairement aux apparences, un accord serait plus à portée de main que nous ne le pensions. Dans son interview avec Paul Larocque à TVA, Justin Trudeau lui-même reconnaît que la collecte de données créées par le ministre Christian Dubé est exemplaire. C'est sans compter que les réformes spécifiques sont déjà en cours. Il est loin d'être clair que c'est le cas sur l'échelle pour chacune des autres provinces. Le Premier ministre Trudeau ne sera assis que le 10 le jour où il sera sûr d'en sortir. Par conséquent, pour François Legault, il doit donner son homologue "pour adoucir" les autres. Mais lorsque Justin Trudeau dit que "à court terme les provinces ont l'argent pour améliorer le système", nous comprenons que les milliards attendus ne sont pas pour demain la veille. Parce qu'il est "à long terme [que]Le fédéral sera là ", dit-il. Compte tenu de l'ampleur du déficit, nous l'avons soupçonné. Maintenant, il est dit. Mise au point Après l'espoir en santé, c'est le ton réconciliant sur le devant des problèmes d'identité qui surprennent. Après tout, un vôtre vaut mieux que deux, vous l'aurez. Et c'est d'autant plus vrai face à un québécois revigoré. Lorsque le PQ était en tête, le CAQ pouvait être satisfait d'une ligne dure qui donne une bonne conscience mais peu de résultats. Face à une option souverain qui affiche les premiers signes d'une renaissance, François Legault doit démontrer que son nationalisme porte ses fruits. Funambule Le test n'est pas moins important pour Justin Trudeau. Entre une pierre velue qui le souffle dans le cou et un caucus libéral franchement anti-légault, le jeu d'équilibre n'est pas facile. Comme François Legault, il est à la croisée des chemins. Aucune des deux n'est sur le point de partir. Ils s'en sortent tous les deux.
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C'est fou ce que quatre années peuvent faire en politique. Fraîchement élu en 2018, face à un Justin Trudeau qui aurait plié quatre pour gagner ses faveurs, François Legault a ardé le torse et a serré le pied dans ses bras. Nous voici en 2022, et confrontés à un Justin Trudeau qui assume pleinement son côté centralisé et sa vision d'un Canada post-national, maintenant François Legault est plus posé, voire modéré. Terminé le moment où leurs relations ont été réduites à une confrontation idéologique. Ils ont appris qu'ils sont condamnés à trouver des motifs de compréhension, du moins à court terme. Patience en santé Une fois que la chemise a réglé "sans conditions", il est maintenant clair qu'il n'y aura pas de chèque blanc.ottawa a trop souvent joué dans ce film. Ce que nous comprenons, cependant, c'est que contrairement aux apparences, un accord serait plus à portée de main que nous ne le pensions. Dans son interview avec Paul Larocque à TVA, Justin Trudeau lui-même reconnaît que la collecte de données créées par le ministre Christian Dubé est exemplaire. C'est sans compter que les réformes spécifiques sont déjà en cours. Il est loin d'être clair que c'est le cas sur l'échelle pour chacune des autres provinces. Le Premier ministre Trudeau ne sera assis que le 10 le jour où il sera sûr d'en sortir. Par conséquent, pour François Legault, il doit donner son homologue "pour adoucir" les autres. Mais lorsque Justin Trudeau dit que "à court terme les provinces ont l'argent pour améliorer le système", nous comprenons que les milliards attendus ne sont pas pour demain la veille. Parce qu'il est "à long terme [que]Le fédéral sera là ", dit-il. Compte tenu de l'ampleur du déficit, nous l'avons soupçonné. Maintenant, il est dit. Mise au point Après l'espoir en santé, c'est le ton réconciliant sur le devant des problèmes d'identité qui surprennent. Après tout, un vôtre vaut mieux que deux, vous l'aurez. Et c'est d'autant plus vrai face à un québécois revigoré. Lorsque le PQ était en tête, le CAQ pouvait être satisfait d'une ligne dure qui donne une bonne conscience mais peu de résultats. Face à une option souverain qui affiche les premiers signes d'une renaissance, François Legault doit démontrer que son nationalisme porte ses fruits. Funambule Le test n'est pas moins important pour Justin Trudeau. Entre une pierre velue qui le souffle dans le cou et un caucus libéral franchement anti-légault, le jeu d'équilibre n'est pas facile. Comme François Legault, il est à la croisée des chemins. Aucune des deux n'est sur le point de partir. Ils s'en sortent tous les deux.