Défi linguistique pour des étudiants confrontés à l'écriture inclusive lors d'un examen universitaire !
- l’année dernière
#ecriture #étudiants #lyon #université #Edouard Philippe #Dyslexie
Des étudiants d'une université de Lyon ont été surpris par un examen écrit en utilisant l'écriture inclusive. Cette méthode de rédaction vise à réduire les inégalités de langue entre les genres masculins et féminins. Elle rend les textes plus équitables. Mais certains étudiants ont estimé que la mettre en place pendant un examen rend les choses encore plus compliquées. Cela ajoute une difficulté supplémentaire en plus au stress des étudiants, qui doivent déjà faire face à la pression de réussir leur année. De plus, l'écriture inclusive peut parfois être difficile à comprendre en peu de temps.
Dans l'examen de droit de la famille, les étudiants ont travaillé sur un cas fictif de divorce au sein d'un couple "non binaire". Les textes d'examen sont remplis de "x", de "ae", de "z" et de marques de genre gommées, rendant parfois la compréhension difficile. On peut lire des phrases comme "al a jugé qu'al ne pouvait plus vivre avec al. Ael se sont concertéx pour divorcer". Un enfant est appelé - ou non - et reconnu par des parents tous deux de nationalité allemande. L'écriture inclusive a été interdite il y a cinq ans par Edouard Philippe, mais les enseignants ont toujours la liberté de l'utiliser tant que cela ne dénigre pas une personne ou ne viole pas les lois sur le racisme.
Des sources conflictuelles sur l'écriture inclusive
Deux côtés s'opposent sur l'utilisation de l'écriture inclusive, qui vise à introduire une équité entre les genres, en éliminant les différences entre les sexes dans la langue. Les partisans soutiennent qu'il favorise l'inclusion et la visibilité des femmes, des personnes transgenres et des personnes non conformes aux genres, et les opposants considèrent que cela rend la lecture plus difficile et que cela nuit à la langue française.
Une expression méprisante
Certains étudiants ont jugé le travail d'examen incompréhensible et absurde, tandis que d'autres ont reconnu son utilité et sa pertinence. L'écriture inclusive est souvent utilisée de manière ludique ou dérisoire, mais sa mise en œuvre est un véritable enjeu de société basé sur l'inclusion et la visibilité des genres féminins. Dans une société qui se veut non-discriminatoire, l'écriture inclusive peut, pour certains, être mal interprétée et perçue comme méprisante. Le débat reste fortement présent dans la société française, où les critiques fusent de tous les côtés.
Des étudiants d'une université de Lyon ont été surpris par un examen écrit en utilisant l'écriture inclusive. Cette méthode de rédaction vise à réduire les inégalités de langue entre les genres masculins et féminins. Elle rend les textes plus équitables. Mais certains étudiants ont estimé que la mettre en place pendant un examen rend les choses encore plus compliquées. Cela ajoute une difficulté supplémentaire en plus au stress des étudiants, qui doivent déjà faire face à la pression de réussir leur année. De plus, l'écriture inclusive peut parfois être difficile à comprendre en peu de temps.
Dans l'examen de droit de la famille, les étudiants ont travaillé sur un cas fictif de divorce au sein d'un couple "non binaire". Les textes d'examen sont remplis de "x", de "ae", de "z" et de marques de genre gommées, rendant parfois la compréhension difficile. On peut lire des phrases comme "al a jugé qu'al ne pouvait plus vivre avec al. Ael se sont concertéx pour divorcer". Un enfant est appelé - ou non - et reconnu par des parents tous deux de nationalité allemande. L'écriture inclusive a été interdite il y a cinq ans par Edouard Philippe, mais les enseignants ont toujours la liberté de l'utiliser tant que cela ne dénigre pas une personne ou ne viole pas les lois sur le racisme.
Des sources conflictuelles sur l'écriture inclusive
Deux côtés s'opposent sur l'utilisation de l'écriture inclusive, qui vise à introduire une équité entre les genres, en éliminant les différences entre les sexes dans la langue. Les partisans soutiennent qu'il favorise l'inclusion et la visibilité des femmes, des personnes transgenres et des personnes non conformes aux genres, et les opposants considèrent que cela rend la lecture plus difficile et que cela nuit à la langue française.
Une expression méprisante
Certains étudiants ont jugé le travail d'examen incompréhensible et absurde, tandis que d'autres ont reconnu son utilité et sa pertinence. L'écriture inclusive est souvent utilisée de manière ludique ou dérisoire, mais sa mise en œuvre est un véritable enjeu de société basé sur l'inclusion et la visibilité des genres féminins. Dans une société qui se veut non-discriminatoire, l'écriture inclusive peut, pour certains, être mal interprétée et perçue comme méprisante. Le débat reste fortement présent dans la société française, où les critiques fusent de tous les côtés.