'Bruno Radar, Confessions of a er' : Un aperçu effrayant dans la tête d'un tueur
- il y a 2 ans
Le premier long métrage de Vincent Le Port "Bruno Reidal, Confessions d'un assassin", inspiré de l'histoire vraie d'un tueur d'enfants, a fait un carton ce mercredi.
#Bruno #Reidal #confession
Attention aux films choc ! Les aveux de Bruno Reidal, l'assassin de Vincent Le Port, ne font aucun doute. En 1905, l'histoire d'un étudiant de séminaire de 17 ans décapitant un garçon de 12 ans a étonné le public. La Semaine de la critique 2021 a fait un excellent travail en choisissant ce film tendu du jeune acteur Dimitri Doré, dont le regard torturé l'a longtemps hanté.
Dès la première scène, on sait qui est tué et comment. Reste à comprendre pourquoi. "J'ai voulu épouser l'horreur pour y réfléchir sans avoir à la comprendre. Car pour nous et lui, il y a une zone sombre qui sera toujours là, à l'origine de son pulsion meurtrière", explique le réalisateur dans le dossier de presse.
Inspiré des mémoires du vrai Bruno Radar, ce conte incroyablement sombre évoque des cinéastes tels que René Arrio, Robert Bresson et Michael Haneke, dépeignant un homme qui a été violé, portrait d'un adolescent frappé de raison. Peu de films ont plongé aussi profondément dans la psychologie des sociopathes qui ne peuvent résister à l'appel à la violence. La beauté brute du paysage cantalien renforce l'impression d'isolement de ce jeune homme, dont Vincent Le Porter suit le destin avec une sobriété glaçante. Bruno Reidal révèle le parcours de deux artistes, un cinéaste et un acteur, en proposant le côté obscur de l'humanité. La virtuosité de Dimitri Doré dans le rôle principal fait qu'on ne peut que penser à lui aux Césars en 2023.
#Bruno #Reidal #confession
Attention aux films choc ! Les aveux de Bruno Reidal, l'assassin de Vincent Le Port, ne font aucun doute. En 1905, l'histoire d'un étudiant de séminaire de 17 ans décapitant un garçon de 12 ans a étonné le public. La Semaine de la critique 2021 a fait un excellent travail en choisissant ce film tendu du jeune acteur Dimitri Doré, dont le regard torturé l'a longtemps hanté.
Dès la première scène, on sait qui est tué et comment. Reste à comprendre pourquoi. "J'ai voulu épouser l'horreur pour y réfléchir sans avoir à la comprendre. Car pour nous et lui, il y a une zone sombre qui sera toujours là, à l'origine de son pulsion meurtrière", explique le réalisateur dans le dossier de presse.
Inspiré des mémoires du vrai Bruno Radar, ce conte incroyablement sombre évoque des cinéastes tels que René Arrio, Robert Bresson et Michael Haneke, dépeignant un homme qui a été violé, portrait d'un adolescent frappé de raison. Peu de films ont plongé aussi profondément dans la psychologie des sociopathes qui ne peuvent résister à l'appel à la violence. La beauté brute du paysage cantalien renforce l'impression d'isolement de ce jeune homme, dont Vincent Le Porter suit le destin avec une sobriété glaçante. Bruno Reidal révèle le parcours de deux artistes, un cinéaste et un acteur, en proposant le côté obscur de l'humanité. La virtuosité de Dimitri Doré dans le rôle principal fait qu'on ne peut que penser à lui aux Césars en 2023.