La folle découverte de chercheurs français pour anticiper les orages magnétiques
- il y a 6 ans
Plus de portables, plus de wi-fi, plus d’ordinateurs, transactions boursières stoppées, réseaux électriques éteints,
Une méga-éruption solaire aurait pour conséquence de nous renvoyer directement au Moyen Âge.
L’astrophysicien français Tahar Amari, directeur de Recherche au CNRS et son équipe pourraient avoir trouvé la solution pour les anticiper.
En analysant une éruption d’octobre 2014, ils ont pu observer au sein même du soleil l’existence d’une cage magnétique.
Celle-ci permet en fait de contrôler la puissance d’une éruption.
« Nous avions déjà montré que chaque éruption était précédée par la naissance de lignes torsadées magnétiques, ressemblant à une corde de chanvre.
Là, on vient de comprendre que cette corde grandit en fait au sein d’une cage, un peu comme le ferait un embryon dans son cocon » Tahar Amari pour Le Parisien.
Cette découverte permettra de mieux suivre les éruptions, prévoir leur potentiel dévastateur et faire le tri entre celle qui sont les plus menaçantes.
Ce jeudi 8 janvier 2018, leurs travaux sont publiés dans la revue Nature.
Une méga-éruption solaire aurait pour conséquence de nous renvoyer directement au Moyen Âge.
L’astrophysicien français Tahar Amari, directeur de Recherche au CNRS et son équipe pourraient avoir trouvé la solution pour les anticiper.
En analysant une éruption d’octobre 2014, ils ont pu observer au sein même du soleil l’existence d’une cage magnétique.
Celle-ci permet en fait de contrôler la puissance d’une éruption.
« Nous avions déjà montré que chaque éruption était précédée par la naissance de lignes torsadées magnétiques, ressemblant à une corde de chanvre.
Là, on vient de comprendre que cette corde grandit en fait au sein d’une cage, un peu comme le ferait un embryon dans son cocon » Tahar Amari pour Le Parisien.
Cette découverte permettra de mieux suivre les éruptions, prévoir leur potentiel dévastateur et faire le tri entre celle qui sont les plus menaçantes.
Ce jeudi 8 janvier 2018, leurs travaux sont publiés dans la revue Nature.