Jouets sexuels : elle poursuit une entreprise qui viole sa vie privée
- 8 years ago
CHICAGO, ILLINOIS — Une femme a déposé une poursuite judiciaire contre le fabricant de jouets sexuels We-Vibe, disant que l'application mobile dévelopée par l'entreprise transmettrait des données personnelles à l'entreprise.
Une femme, identifiée par ses initiales N.P., aurait acheté un We-Vibe Rave en mai. Elle aurait connecté l'appareil à l'application We-Connect développée par l'entreprise.
L'application permet de contrôler les différents modes de vibration, et ce, de n'importe où dans le monde.
Bien que la femme appréciait les différents modes de vibration, elle n'a pas du tout apprécié que ses informations personnelles soient transmises à We-Vibe.
We-Vibe dit collecter des informations personnelles pour améliorer ses produits. Les données seraient non identifiables, selon un porte-parole de l'entreprise.
Une femme, identifiée par ses initiales N.P., aurait acheté un We-Vibe Rave en mai. Elle aurait connecté l'appareil à l'application We-Connect développée par l'entreprise.
L'application permet de contrôler les différents modes de vibration, et ce, de n'importe où dans le monde.
Bien que la femme appréciait les différents modes de vibration, elle n'a pas du tout apprécié que ses informations personnelles soient transmises à We-Vibe.
We-Vibe dit collecter des informations personnelles pour améliorer ses produits. Les données seraient non identifiables, selon un porte-parole de l'entreprise.